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En effet, le rapport onusien a reconduit pour une nouvelle année la mission de la MINURSO et encouragé les parties à reprendre les négociations en vue de parvenir à une solution mutuellement acceptable. Toujours le même refrain depuis 1991, première année du cessez-le-feu. Comment, se demandent les auteurs du communiqué, peut-on espérer que les parties trouveront une solution alors que le dernier mot revient à l’Algérie qui n’a de cesse de répéter que le conflit ne concerne que le Maroc et le Polisario ? Comment peut-on espérer parvenir à une solution quand on sait que le Polisario ne veut pas d’une issue qui mettrait fin à son exploitation des populations impuissantes parquées dans le désert algérien et qui permettent, à travers les aides humanitaires internationales, à ses membres de s’enrichir davantage ? Le rapport de l’ONU, où seules les dates changent d’année en année, n’a pas changé d’un iota durant les 26 dernières années consacrant l’avantage réel du Maroc. Entre-temps, le Polisario continue de diffuser des propagandes mensongères de reprise des combats, à travers des manœuvres provocatrices qui prennent fin chaque fois que le rapport de l’ONU est publié.
« Nous savons, comme l’Algérie et la direction du Polisario, que l’éventualité de la reprise de la guerre par le Polisario est une simple propagande dont l’objectif est de permettre à ses membres de continuer à exploiter les séquestrés », ajoutent-ils.
Le rapport n’a connu aucune modification par rapport à celui de 2015, si ce n’est que le Conseil de sécurité a salué l’installation des délégations régionales du Conseil national des droits de l’Homme à Laâyoune et Dakhla.
Le rapport a, également, appelé au recensement des populations des camps.
Et de conclure : «Est-ce que ces gens qui vivent dans le luxe et l’opulence vont-ils tenter de trouver une solution à ce conflit? Peut-on espérer qu’ils vont tarir la source qu’ils exploitent ? Bien sûr que non. C’est pour cela que nous appelons les populations à se soulever contre ces ses individus qui font de leurs souffrances un fonds de commerce en vue de les obliger à mener des négociations mettant un terme à cette situation».