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Au CPS de l'UA, le Maroc réitère l’impératif de l’approche Nexus paix, sécurité et développement pour la prévention des conflits en Afrique
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Des élèves palestiniens en visite au siège du CSEFRS
Jose Maria Lizundia révèle que la majorité des idées véhiculées en Espagne sur cette question sont le résultat « d’un mythe créé par des étudiants sahraouis dans des universités marocaines au début des années 70, ainsi que par des militaires et fonctionnaires franquistes, des gauchistes, des nationalistes et des journalistes (espagnols) éblouis par tout ce qui a trait à la gauche révolutionnaire ». Pour l’avocat espagnol, la soi-disant « cause sahraouie » est un produit de la guerre froide, ajoutant que la solution à la question du Sahara passe aujourd’hui par un accord juste, durable et mutuellement acceptable par les parties dans le cadre de l’ONU.
Il affirme, dans le même contexte, que le Sahara n’a jamais été « un espace géopolitique propre », mais a toujours été un territoire marocain, jamais identifié à un peuple, mais à des tribus et des fractions auxquelles l’ONU continue de se référer comme des populations et non un peuple.
L’écrivain espagnol fait observer, en outre, que les livres d’histoire n’ont jamais évoqué un affrontement qui aurait eu lieu entre le Maroc et une quelconque entité qui aurait existé au Sahara, ce qui, à son avis, est « très significatif ».
Le conflit du Sahara est un conflit artificiel imposé au Maroc par l’Algérie. Et d’ajouter que le Polisario est un mouvement séparatiste soutenu par le pouvoir algérien et qui revendique la création d’un Etat factice au Maghreb.