-
Pas de hausse globale du risque de cancer pour les enfants nés sous PMA
-
La justice népalaise ordonne de limiter le nombre de permis pour l'ascension de l'Everest
-
Déforestation: Les outils financiers comme les crédits carbone ne tiennent pas leurs promesses
-
Une start-up veut accélérer la traduction des mangas avec l'IA
-
Un apiculteur devient le héros d'un match de baseball aux Etats-Unis
La structure d'environ trois mètres de haut, inaugurée lundi à la mairie de Vienne, offre un labyrinthe visuel de lignes et de sphères où se perd le regard.
Son "record" est déjà célébré par un timbre de la poste autrichienne reproduisant ce kaléidoscope rouge et blanc.
Un policier de Moutain View, ville de la Silicon Valley en Californie (Ouest des Etats-Unis) où se trouve le siège de Google effectuait, jeudi dernier, une patrouille lorsqu'il a remarqué qu'une voiture roulant à 38 km/h.
Problème : elle roule sur une route limitée à 56 km/h et provoque un ralentissement qui prend de l'ampleur. Le policier décide de remonter la file.
En arrivant à la hauteur de la voiture, l'agent s'aperçoit qu'il s'agit d'une Google Car, la voiture autonome du géant de l'Internet.
Si sur le fond, le comportement de la voiture était «légal» selon les règles de l'Etat californien qui a autorisé Google à effectuer des essais sur ce prototype, le policier a juste pu réprimander le passager pour cet excès de lenteur.
De son côté, Google a pris le parti de l'humour. «On conduit trop lentement ?», a déclaré l'équipe qui s'occupe du projet de voiture autonome sur sa page du réseau social Google +. «On parie que les humains ne se font pas souvent arrêter pour ce motif», ajoute le texte.