Autres articles
-
Taounate : Journées «Portes ouvertes » pour l’accompagnement des personnes en situation de précarité
-
Tenue de la 1ère édition de la "Journée de la sécurité" au chantier du port Dakhla Atlantique
-
Fès abrite le 9ème Congrès international des Sciences sociales et Santé
-
Drâa-Tafilalet: Convention de partenariat pour la collecte des données sur les ménages
-
Larache: Lancement des travaux d’aménagement de la forêt urbaine "La Hipica"
Les habitants du village de pêche N’Teirift, 60 km au nord de Dakhla, se sont réveillés, ce jeudi 27 mars sur des ordres donnés çà et là par les éléments de la Protection civile, venus maîtriser le feu et limiter les dégâts fort importants, causés par l’incendie qui s’est déclaré aux environs de 4 heures du matin.
Informées, les autorités, avec à leur tête le wali de la région, se sont rendues sur les lieux du sinistre où 300 barraques avaient été ravagées par le feu.
Contactés par Libé, les services de la Gendarmerie Royale ont confirmé qu’une enquête a été ouverte pour connaître les causes de ce drame. Bien qu’un grand nombre de maisons en dur aient été bâties dans cette zone, les marins pêcheurs continuent de vivre dans des baraques de fortune sans aucune mesure de sécurité.
Ce qui est le cas dans plusieurs baraquements de pêche dans les environs de Dakhla où les incendies entraînant d’importants dégâts matériels et parfois des victimes, sont devenus monnaie courante.
Cette situation soulève la question des villages de pêche construits, le long de la côte, et qui ont coûté des dépenses au budget de l’Etat, tout en demeurant à ce jour inhabités.
