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Rupture du soutien aux familles nécessiteuses de Zagora, menaces sanitaires résultant de la prolifération des marécages et des décharges clandestines à Al Oulfa et situation des enseignants suspendus
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Saint-Christophe-et-Niévès réitère sa position constante en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et de son intégrité territoriale
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Omar Hilale met à nu les violations des droits de l’Homme endurées par les populations vivant dans les camps de Tindouf
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Coup d'envoi à Rabat de la 33ème session de la Conférence régionale de la FAO pour l'Afrique
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Célébration du 77ème anniversaire de la visite historique de feu SM Mohammed V à Tanger
En dépit des différences de ton, l'opinion d'une large frange de l'opinion politique reste unanime sur le fait que les choses doivent changer. La nouvelle Constitution doit trouver son chemin vers la concrétisation démocratique. Pour ce faire, deux principes majeurs régissent les argumentaires du CNDH, qui a hérité des recommandations de l'ancienne IER, et des autres acteurs associatifs des droits humains qui ont rédigé un communiqué collectif dans ce sens. Il s'agit du principe d'impunité auquel on doit mettre un terme. Et en second lieu, celui stipulant que ceux ou celles ayant des responsabilités politiques et administratives doivent répondre de leurs actes. Mohamed Essebar, secrétaire général du CNDH, a été clair : «Le Parlement doit préciser méticuleusement les missions dévolues à l'armée, leurs limites, ainsi que la nature, la durée temporelle de l'intervention et les institutions chargées à la fois d'ordonner l'armée d'intervenir ou/et de mettre fin à son intervention …». Ne dit-on pas que le diable est dans les détails?