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Mohamed Sassi, dirigeant du Parti socialiste unifié (PSU) et tête de liste de l’Alliance de gauche, qui était entouré par des représentants d’autres partis candidats à Yacoub El Mansour, à savoir Hassan Tarik (USFP) Labied Grine (Parti du progrès et socialisme), Allal Mahnine (Parti de l’Istiqlal), Mohamed Radahi (Parti de l’avant-garde démocratique et socialiste) affirment « disposer de preuves tangibles sur ce complot prémédité ». Ces partis politiques soulignent à ce propos, avoir eu un avant-goût de ce qui se tramait durant la campagne électorale.
Des comportements qu’ils ont dénoncés en son temps, tout en s’abstenant de formuler un jugement définitif sur ce jeu électoral jusqu’à ce qu’ils aient toutes les données nécessaires.
C’est chose faite aujourd’hui. Ils affirment disposer de preuves irréfutables sur la falsification de la volonté du peuple. « Nous avons gagné, mais on nous a privés du seuil d’éligibilité », a indiqué Mohamed Sassi lors de cette conférence. Ils disposent en effet de PV signés à blanc par les responsables de bureau de vote, ainsi que de preuves sur la distribution de bulletins de votes avant le début du scrutin. Des pratiques qui dénotent « la volonté dès le départ de falsifier les résultats ».
Aujourd’hui, ils demandent l’ouverture d’une enquête nationale pour lever le voile sur les violations qui ont entaché les élections ainsi que sur la gestion communale à Yacoub El Mansour.
Ils ont également confié à une équipe d’avocats l’application de la loi contre les personnes ayant trahi la responsabilité communale. Ces sept partis ont également décidé de constituer un groupe d’action commun, une sorte de commune d’ombre, qui supervisera de près la gestion communale et veillera à dénoncer toutes les violations et les dépassements qui surviendront à la circonscription de Yacoub El Mansour, durant ces six prochaines années.