Le rideau est tombé, dimanche au Complexe Al Amal à Casablanca, sur le 28ème Grand Prix Hassan II de tennis, épreuve comptant pour le circuit ATP Tour 250 et dotée d’environ 400.000 euros.
Pour l’édition 2012, la finale a été cent pour cent espagnole avec comme protagonistes Pablo Andujar et Albert Ramos et la consécration est revenue au premier joueur cité qui est parvenu à défendre de la plus belle manière son titre de 2011. C’est d’ailleurs la deuxième fois dans l’histoire de l’ATP casablancais qu’un tennisman arrive à conserver son sacre et ce, après l'Argentin Guillermo Perez Roldan, lauréat des éditions de 1992 et 1993.
Andujar a entamé la partie du bon pied face à Ramos dont la meilleure performance cette saison reste une demi-finale à l’Open du Brésil. Breakant à double reprise et menant par 4 à 0, Pablo Andujar n’a pas du tout lâcher prise jusqu’à s’être adjugé le gain de la première manche sur le score de 6-1.
Au cours du second set, interrompu à deux reprises à cause des pluies, les débats se sont corsés, puisque Ramos avait repris du poil de la bête, faisant jeu égal avec son adversaire. Sauf que celui-ci n’a pas du tout craqué au jeu décisif pour glaner la partie sur la marque de 7-6 (7-5), le tout en 1h45 minutes de jeu.
Pablo Andujar étoffe donc son palmarès par un deuxième titre ATP à Casablanca, sachant qu’il ne compte que trois finales à Stuttgart et Bucarest en 2011 et Bucarest en 2010. Malchanceux en Roumanie et heureux au Maroc, l’Ibérique qui a glané 250 points se hissera, au nouveau classement ATP devant être rendu public hier, du 45ème rang au 38ème. Il a fait savoir dans une déclaration rapportée par la MAP : «Je suis très content après cette victoire à laquelle je ne m'attendais pas. La pluie nous a beaucoup perturbés, car après chaque interruption de jeu il fallait retrouver le rythme à 100% ce qui n'est pas facile. J'ai senti Ramos un peu nerveux lors du 1er set que j'ai très bien joué». Et d’ajouter : «Au 2è set, qui était très serré, chacun d'entre nous pouvait gagner. Je dédie cette victoire à mon entraîneur et à ma famille».
Quant à Albert Ramos qui en atteignant la finale aura droit à 150 points, ce qui lui permettra de gagner huit places d’un seul coup (de la 57è à la 49è), il a déclaré qu’ «Andujar a livré un bon match. Il a su imposer son jeu malgré les interruptions de la rencontre causées par la pluie. Je remercie le public et les organisateurs qui m'ont permis de prendre part à cet important tournoi», qui vient juste avant le Masters 1000 de Monte Carlo qui a débuté hier.
Pour rappel, l’ATP casablancais, placé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, a vu la participation au tableau final de deux joueurs marocains, présents grâce à des wild cards. Il s’agit de Mehdi Ziadi et Yassine Idmbarek défaits d’entrée, tout comme d’ailleurs les paires nationales engagées, ainsi que les 4 tennismen nationaux battus au premier tour des qualifs.
La particularité de cette édition est l’élimination prématurée des têtes de série, à savoir l’Allemand Florian Mayer (n : 1), l’Ukrainien Alexandr Dolgopolov (n : 2), l’Américain Donald Young (n : 3) et l’Ouzbek Denis Istomin (n : 4).
A signaler en dernier lieu qu’au tableau du double, la victoire est revenue à la paire composée de l’Allemand Dustin Brown et l’Australien Paul Hanley qui a eu raison du tandem italien Daniel Bracciali et Fabio Fognini en 7-5, 6-3.
Pour l’édition 2012, la finale a été cent pour cent espagnole avec comme protagonistes Pablo Andujar et Albert Ramos et la consécration est revenue au premier joueur cité qui est parvenu à défendre de la plus belle manière son titre de 2011. C’est d’ailleurs la deuxième fois dans l’histoire de l’ATP casablancais qu’un tennisman arrive à conserver son sacre et ce, après l'Argentin Guillermo Perez Roldan, lauréat des éditions de 1992 et 1993.
Andujar a entamé la partie du bon pied face à Ramos dont la meilleure performance cette saison reste une demi-finale à l’Open du Brésil. Breakant à double reprise et menant par 4 à 0, Pablo Andujar n’a pas du tout lâcher prise jusqu’à s’être adjugé le gain de la première manche sur le score de 6-1.
Au cours du second set, interrompu à deux reprises à cause des pluies, les débats se sont corsés, puisque Ramos avait repris du poil de la bête, faisant jeu égal avec son adversaire. Sauf que celui-ci n’a pas du tout craqué au jeu décisif pour glaner la partie sur la marque de 7-6 (7-5), le tout en 1h45 minutes de jeu.
Pablo Andujar étoffe donc son palmarès par un deuxième titre ATP à Casablanca, sachant qu’il ne compte que trois finales à Stuttgart et Bucarest en 2011 et Bucarest en 2010. Malchanceux en Roumanie et heureux au Maroc, l’Ibérique qui a glané 250 points se hissera, au nouveau classement ATP devant être rendu public hier, du 45ème rang au 38ème. Il a fait savoir dans une déclaration rapportée par la MAP : «Je suis très content après cette victoire à laquelle je ne m'attendais pas. La pluie nous a beaucoup perturbés, car après chaque interruption de jeu il fallait retrouver le rythme à 100% ce qui n'est pas facile. J'ai senti Ramos un peu nerveux lors du 1er set que j'ai très bien joué». Et d’ajouter : «Au 2è set, qui était très serré, chacun d'entre nous pouvait gagner. Je dédie cette victoire à mon entraîneur et à ma famille».
Quant à Albert Ramos qui en atteignant la finale aura droit à 150 points, ce qui lui permettra de gagner huit places d’un seul coup (de la 57è à la 49è), il a déclaré qu’ «Andujar a livré un bon match. Il a su imposer son jeu malgré les interruptions de la rencontre causées par la pluie. Je remercie le public et les organisateurs qui m'ont permis de prendre part à cet important tournoi», qui vient juste avant le Masters 1000 de Monte Carlo qui a débuté hier.
Pour rappel, l’ATP casablancais, placé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, a vu la participation au tableau final de deux joueurs marocains, présents grâce à des wild cards. Il s’agit de Mehdi Ziadi et Yassine Idmbarek défaits d’entrée, tout comme d’ailleurs les paires nationales engagées, ainsi que les 4 tennismen nationaux battus au premier tour des qualifs.
La particularité de cette édition est l’élimination prématurée des têtes de série, à savoir l’Allemand Florian Mayer (n : 1), l’Ukrainien Alexandr Dolgopolov (n : 2), l’Américain Donald Young (n : 3) et l’Ouzbek Denis Istomin (n : 4).
A signaler en dernier lieu qu’au tableau du double, la victoire est revenue à la paire composée de l’Allemand Dustin Brown et l’Australien Paul Hanley qui a eu raison du tandem italien Daniel Bracciali et Fabio Fognini en 7-5, 6-3.
Aux caporaux le Graal de la bêtise
