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Convoqué par un juge d’instruction de l’Audience nationale suite à une plainte déposée par ses victimes, Mahjoub Ould Ali Ould M’Barek dit Lincoln, chargé de la sécurité à la représentation du Polisario en Espagne et de la coordination avec l’attaché militaire algérien à Madrid, aurait réussi à quitter subrepticement la capitale espagnole par crainte d’y être mis aux arrêts.
Selon des sources concordantes, l’intéressé aurait réussi à entrer en France par voie terrestre, d’où il se serait rendu en Mauritanie où il aurait été vu, mardi dernier, dans les rues de Nouadhibou.
A rappeler que Mahjoub Ould Ali Ould M’Barek, Algérien d’origine sahraouie, était l’un des tortionnaires les plus sanguinaires des camps de Tindouf où on le qualifiait de Klaus Barbie d’Abdelaziz.
Son nom figurait sur la liste des personnes dont le juge Pablo Ruz voulait procéder à l’audition et qui comprenait notamment Brahim Ghali, Mohamed Khadad, représentant du Polisario à l’ONU, Nabil Kadour, attaché militaire à l’ambassade d’Algérie en Mauritanie et le soi-disant ministre de la Communication, Sidihmed Battal.
Toutes ces personnes ont fait l’objet d’une plainte déposée par leurs victimes auprès de l’Audience nationale et devaient répondre des crimes de génocide et des violations graves et répétées des droits de l’Homme qu’elles ont commis dans les camps de Tindouf.
Selon des sources concordantes, l’intéressé aurait réussi à entrer en France par voie terrestre, d’où il se serait rendu en Mauritanie où il aurait été vu, mardi dernier, dans les rues de Nouadhibou.
A rappeler que Mahjoub Ould Ali Ould M’Barek, Algérien d’origine sahraouie, était l’un des tortionnaires les plus sanguinaires des camps de Tindouf où on le qualifiait de Klaus Barbie d’Abdelaziz.
Son nom figurait sur la liste des personnes dont le juge Pablo Ruz voulait procéder à l’audition et qui comprenait notamment Brahim Ghali, Mohamed Khadad, représentant du Polisario à l’ONU, Nabil Kadour, attaché militaire à l’ambassade d’Algérie en Mauritanie et le soi-disant ministre de la Communication, Sidihmed Battal.
Toutes ces personnes ont fait l’objet d’une plainte déposée par leurs victimes auprès de l’Audience nationale et devaient répondre des crimes de génocide et des violations graves et répétées des droits de l’Homme qu’elles ont commis dans les camps de Tindouf.
