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Dans la préface du catalogue de l’exposition « Lignes sans brides », le critique d’art Abderrahmane Ajbour écrit : « Cette collection de dessins est un vrai trésor. On n’a jamais eu l’occasion de les voir, même partiellement, sinon sous forme d’échos que l’on retrouve, par ci, par là, dans les peintures et les photographies de certains des artistes présentés. On peut tout de même penser qu’ici des dessins jouent clairement le rôle de matrice, ou du moins de source nourricière à des toiles vivantes – antérieures ou postérieures, peu importe ! mais qui portent la trace d’une correspondance indéniable. En faveur de l’esprit de cohérence, d’équilibre ou de complémentarité, ils surprennent par les passerelles qu’ils instaurent entre les genres et par leur autonomie esthétique incontestable. Ces dessins portent le témoignage d’une séquence importante des arts plastiques du Maroc… »
Le peintre Ingres affirme que « Le dessin est la probité de l’art ». Cette exposition en est la preuve et la marque patente de la place que le dessin occupe dans les arts plastiques au Maroc.