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Des échéances électorales qui ont été entachées d’irrégularités de l’aveu même de la Commission gouvernementale de suivi des élections qui a annoncé, concernant les élections de la deuxième Chambre, avoir «appris que certains élus sont soupçonnés de crimes électoraux liés à l’usage de l’argent pour l’achat des voix des électeurs».
Des soupçons que confirment une déclaration du secrétaire général du Parti du progrès et du socialisme (PPS) qui n’a pas hésité à qualifier le scrutin du vendredi 2 octobre de scandaleux en prétendant que 70% des nouveaux conseillers auraient usé de l’argent sale pour s’assurer un strapontin au sein de cette Chambre.