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Le service préfectoral de la police judiciaire de Tétouan a procédé, vendredi, à l'arrestation d’un agent de police de grade de brigadier-chef, qui exerce au commissariat de police d’Oued Zem, pour son implication présumée dans une affaire de faux et usage de faux, d’escroquerie et de corruption.
L'arrestation du mis en cause intervient suite à l'interpellation par les services de sûreté de Tétouan, d’une personne faisant l'objet d'un avis de recherche pour avoir présenté un certificat de résidence falsifié en vue d'obtenir la carte d’identité nationale. Selon l'enquête, le document a été délivré par le mis en cause qui exerçait ses fonctions à la circonscription de police de Tétouan avant son transfert à Oued Zem, en contrepartie d’une somme d’argent, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
Les investigations ont dévoilé que le policier arrêté a menti à la mère de la personne recherchée, prétendant pouvoir suspendre la validité de l’avis de recherche émis à l’encontre de son fils.
Rabat
Le service préfectoral de la police judiciaire de Rabat a arrêté, vendredi, trois individus, dont un faisait l'objet d'un avis de recherche, soupçonnés de liens avec un réseau criminel et d'implication dans une affaire d'enlèvement, de séquestration et de vol avec violence.
Selon les informations préliminaires de l'enquête, les suspects ont procédé, en compagnie de deux autres personnes, à l’enlèvement de leur victime dans un café avant de la conduire à la ville de Témara où elle a été séquestrée, dépouillée de certains de ses biens et forcée à mettre son empreinte sur un document vierge, sur incitation d’une femme, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
Les investigations menées à ce sujet ont montré que les mis en cause, un employé et deux videurs dans une boîte de nuit, ont commis ces actes criminels en échange de 50.000 dirhams, à la demande d’une femme qui prétendait que la victime la menaçait de publier des photos indécentes la concernant.
Salé
Un individu inculpé pour des actes de terrorisme, a été condamné, jeudi soir, à 20 ans de prison ferme par la Chambre criminelle de première instance chargée des affaires de terrorisme à l'annexe de la Cour d’appel de Salé.
L'accusé était poursuivi pour "tentative d'homicide volontaire avec préméditation, incendie volontaire contre un véhicule, fabrication et possession de matières explosives et leur utilisation de manière illégale dans le cadre d'un projet individuel visant à porter gravement atteinte à l'ordre public par l'intimidation, et apologie du terrorisme".
Le mis en cause a été arrêté en avril 2016 par la Gendarmerie Royale de Tata après avoir tenté d'agresser un touriste étranger avec de l'acide.