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Piano
La jeune pianiste marocaine Nour Ayadi a ébloui l'assistance, mercredi soir à Busko Zdroj en Pologne, à l’occasion de la 23ème édition du Festival Chopin de la musique classique.
Jouant des morceaux des chefs-d’œuvre de la musique classique, elle a envoûté par son interprétation les amoureux de cette musique qui ne ratent pas ce festival de renommée et qui voient se produire les plus talentueux musiciens de différents pays du monde, en particulier des Etats-Unis, du Canada et de la Pologne.
Nour, née en 1999, a fait voyager l’assistance en puisant dans le répertoire mondial de cet art à travers des morceaux finement choisis des grands musiciens et admirablement joués par cette virtuose, qui n’est pas à son premier passage en Pologne puisqu’elle s’était déjà produite à l’université de Chopin à Varsovie en 2014, et que les organisateurs de ce festival la considèrent comme la "Star montante aux doigts d’or".
A travers son magistral récital, elle a captivé un public connaisseur habitué, au fil des éditions, aux beaux et éternels morceaux mais aussi par son agréable prestance sur scène suscitant des applaudissements des plus nourris de l’assistance.
Luth
La "virtuose du Oud" Driss El Maloumi a redonné au luth, mardi soir à Assilah, ses lettres de noblesse plongeant les mélomanes dans un passé lointain, grâce aux philtres dont seule la musique en possède les fulgurances.
En maître de soirée, Driss El Maloumi qui a été chaleureusement accueilli par les spectateurs, a livré à la bibliothèque Prince Bandar Bin Sultan dans le cadre du 39ème Moussem culturel international d'Assilah, un concert digne de mille et une nuits.
"L'enchanteur du Oud", qui réussit à assimiler le style de jeu de luth berbère, oriental et occidental en dépassant le cliché ethnique et académique, a gratifié l'assistance de sa musique avec une sensibilité spirituelle particulière.
Portant son inséparable instrument dans la main, Driss El Maloumi a livré aux amoureux de Tarab une virée musicale nocturne, dénommée "Nassim Rouh", mêlant des rythmes d’ici et d’ailleurs.
Accompagné par son frère Saïd El Maloumi, très bon joueur de zarb, de Lahoucine Baqir aux percussions, et de sa sœur Karima, une chanteuse à la voix mielleuse, El Maloumi a su façonner un temps et un espace parfaitement sereins, d’une immense clarté et d’une beauté dont on sait déjà qu’elle sera inaltérable.
La jeune pianiste marocaine Nour Ayadi a ébloui l'assistance, mercredi soir à Busko Zdroj en Pologne, à l’occasion de la 23ème édition du Festival Chopin de la musique classique.
Jouant des morceaux des chefs-d’œuvre de la musique classique, elle a envoûté par son interprétation les amoureux de cette musique qui ne ratent pas ce festival de renommée et qui voient se produire les plus talentueux musiciens de différents pays du monde, en particulier des Etats-Unis, du Canada et de la Pologne.
Nour, née en 1999, a fait voyager l’assistance en puisant dans le répertoire mondial de cet art à travers des morceaux finement choisis des grands musiciens et admirablement joués par cette virtuose, qui n’est pas à son premier passage en Pologne puisqu’elle s’était déjà produite à l’université de Chopin à Varsovie en 2014, et que les organisateurs de ce festival la considèrent comme la "Star montante aux doigts d’or".
A travers son magistral récital, elle a captivé un public connaisseur habitué, au fil des éditions, aux beaux et éternels morceaux mais aussi par son agréable prestance sur scène suscitant des applaudissements des plus nourris de l’assistance.
Luth
La "virtuose du Oud" Driss El Maloumi a redonné au luth, mardi soir à Assilah, ses lettres de noblesse plongeant les mélomanes dans un passé lointain, grâce aux philtres dont seule la musique en possède les fulgurances.
En maître de soirée, Driss El Maloumi qui a été chaleureusement accueilli par les spectateurs, a livré à la bibliothèque Prince Bandar Bin Sultan dans le cadre du 39ème Moussem culturel international d'Assilah, un concert digne de mille et une nuits.
"L'enchanteur du Oud", qui réussit à assimiler le style de jeu de luth berbère, oriental et occidental en dépassant le cliché ethnique et académique, a gratifié l'assistance de sa musique avec une sensibilité spirituelle particulière.
Portant son inséparable instrument dans la main, Driss El Maloumi a livré aux amoureux de Tarab une virée musicale nocturne, dénommée "Nassim Rouh", mêlant des rythmes d’ici et d’ailleurs.
Accompagné par son frère Saïd El Maloumi, très bon joueur de zarb, de Lahoucine Baqir aux percussions, et de sa sœur Karima, une chanteuse à la voix mielleuse, El Maloumi a su façonner un temps et un espace parfaitement sereins, d’une immense clarté et d’une beauté dont on sait déjà qu’elle sera inaltérable.