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Exposition
Un vernissage de l’exposition “What is known” de l’artiste palestinien, Monther Jawabreh, se déroulera, le 3 septembre prochain, à la Villa des arts de Casablanca à partir de 19h00. La démarche artistique de l’artiste Jawabreh au cours de ces dernières années s’articule autour de la recherche et l’extension du concept de la résistance, indique un communiqué de la Fondation ONA qui précise que l’exposition se poursuivra jusqu’au 15 octobre. “Tandis que l’artiste ne concourt pas à l’idée de ce que “l’art crée le bonheur et permet aux gens de réaliser leurs idéaux’, sa production artistique reflète incontestablement un discours artistique qui constitue un refuge pour ces idéaux”, ajoute-t-on.
Selon Jawabreh, “le concept de la résistance peut être expliqué comme une réaction humaine aux défis et aux menaces de la vie”. “La résistance s’explique par des mécanismes qui permettent de créer une certaine persévérance contre les défis d’ordre social, culturel ou autre. Contrairement aux croyances populaires, la résistance ne sous-entend pas nécessairement la violence mais constitue, plutôt, une opposition consciente et réfléchie qui reflète un état d’esprit de l’individu qui se traduit en conséquence par s’opposer, rejeter, challenger, rêver”, soutient l’artiste.
Rencontre
Une rencontre avec Habib Mazini autour du nouvel ouvrage “Le patriote irrévérencieux, dictionnaire impertinent” aura lieu, le 2 septembre prochain, à la Villa des arts de Casablanca à partir de 19h00.
“Le patriote irrévérencieux se décline comme un dictionnaire impertinent contant les déficits et les mérites du royaume. Le livre se veut un hommage malicieusement patriotique au travers de quelques thèmes familiers judicieusement choisis, les uns institutionnels, les autres inventés pour la circonstance”, indique un communiqué de la Fondation ONA. “Avec l’ironie pour bouclier et l’universalisme en monture, l’auteur, pédagogie en bandoulière, conte le Maroc dans ses réalités, le Marocain dans ses contradictions”, ajoute-t-on de même source. “Le style corrosif et l’ironie participent de cette analyse irrévérencieuse, à la manière d’un hommage malicieux et critique”, poursuit-on.
Un vernissage de l’exposition “What is known” de l’artiste palestinien, Monther Jawabreh, se déroulera, le 3 septembre prochain, à la Villa des arts de Casablanca à partir de 19h00. La démarche artistique de l’artiste Jawabreh au cours de ces dernières années s’articule autour de la recherche et l’extension du concept de la résistance, indique un communiqué de la Fondation ONA qui précise que l’exposition se poursuivra jusqu’au 15 octobre. “Tandis que l’artiste ne concourt pas à l’idée de ce que “l’art crée le bonheur et permet aux gens de réaliser leurs idéaux’, sa production artistique reflète incontestablement un discours artistique qui constitue un refuge pour ces idéaux”, ajoute-t-on.
Selon Jawabreh, “le concept de la résistance peut être expliqué comme une réaction humaine aux défis et aux menaces de la vie”. “La résistance s’explique par des mécanismes qui permettent de créer une certaine persévérance contre les défis d’ordre social, culturel ou autre. Contrairement aux croyances populaires, la résistance ne sous-entend pas nécessairement la violence mais constitue, plutôt, une opposition consciente et réfléchie qui reflète un état d’esprit de l’individu qui se traduit en conséquence par s’opposer, rejeter, challenger, rêver”, soutient l’artiste.
Rencontre
Une rencontre avec Habib Mazini autour du nouvel ouvrage “Le patriote irrévérencieux, dictionnaire impertinent” aura lieu, le 2 septembre prochain, à la Villa des arts de Casablanca à partir de 19h00.
“Le patriote irrévérencieux se décline comme un dictionnaire impertinent contant les déficits et les mérites du royaume. Le livre se veut un hommage malicieusement patriotique au travers de quelques thèmes familiers judicieusement choisis, les uns institutionnels, les autres inventés pour la circonstance”, indique un communiqué de la Fondation ONA. “Avec l’ironie pour bouclier et l’universalisme en monture, l’auteur, pédagogie en bandoulière, conte le Maroc dans ses réalités, le Marocain dans ses contradictions”, ajoute-t-on de même source. “Le style corrosif et l’ironie participent de cette analyse irrévérencieuse, à la manière d’un hommage malicieux et critique”, poursuit-on.