-
Création du réseau international des mécanismes nationaux des droits de l'Homme
-
Série d’entretiens d’Abdellatif Hammouchi avec ses homologues espagnols
-
"Les Conseils des préfectures et des provinces et les défis de la transition numérique" au centre d'une journée d’étude
-
Ouverture à Rabat de la 3ème édition du Forum annuel MD Sahara
-
Akhannouch n’apprécie pas les vérités soutenues par le CSEE. Et il le fait savoir
La réunion s’est déroulée à Rabat, au siège du ministère de l’Intérieur, dans le cadre de la commission électorale ad hoc qui regroupe les représentants des partis de la majorité et de l’opposition ainsi que l’Intérieur, le département organisateur du scrutin.
Les secrétaires généraux de l’USFP, l’Istiqlal, le PAM et l’Union constitutionnelle n’ont pas délégué leurs représentants à cette rencontre. MM Lachguar, Chabat, Bakkoury et Sajid ont fait le déplacement. Et pour cause. Pendant tout le week-end, une rumeur de report des élections communales et régionales a envahi les réseaux sociaux. Dimanche, les quatre partis formant l’opposition parlementaire ont partagé la table du f’tour tout en se questionnant sur le retard enregistré par le gouvernement Benkirane dans la préparation des prochaines élections. L’ouverture de l’inscription sur les listes électorales et les délais légaux de retour a fortement contribué à semer la confusion.
Mardi, à la réunion tenue au sommet au ministère de l’Intérieur, la première confirmation est tombée. Il n’y aura pas de report des élections. Comme prévu, le scrutin communal et régional va bien avoir lieu le 4 septembre. La question de la nouvelle ouverture des listes électorales a également été longuement débattue. Décision a été prise que seules les personnes inscrites avant fin mars 2015 –c'est-à-dire à la première opération d’inscription sur les listes électorales- pourront se porter candidates. Ceux et celles inscrits entre le 9 juillet et le 20 août – ne pourront pas l’être. Ils ne pourront se prévaloir que de leur statut d’électeurs.
Selon les informations dont nous disposons, un accord de principe aurait été trouvé au sujet du découpage. Un point jusque-là en suspens et qui avait suscité de nombreuses critiques de l’opposition.