-
Le risque géopolitique pèse sur la stabilité financière dans la zone euro
-
Selon Xi et Poutine. L'axe Pékin-Moscou, facteur de "stabilité" et de "paix"
-
Les Etats-Unis annoncent avoir arrimé la jetée provisoire à Gaza, prête à recevoir de l'aide
-
Cinq soldats israéliens tués par des "tirs amis" lors de combats dans le nord de Gaza
-
En Indonésie, le bilan des inondations s'alourdit à 41 morts
Attaque contre des militaires français en CentrafriqueMercredi 7 Mai 2014
Autres articles
Plusieurs rebelles ont été tués lundi en Centrafrique lors d’un affrontement avec des militaires français de la force Sangaris dans le nord-ouest du pays, a annoncé mardi l’état-major français à Paris. Les affrontements se sont produits à 450 km au nord-ouest de Bangui et ont duré pendant environ trois heures, avec appui aérien d’avions de chasse français venus de N’Djamena (Tchad), selon cette source. Il n’y a pas eu de blessé côté français. “Des éléments de Sangaris ont été attaqués par un groupe armé important, d’une quarantaine d’individus, engagés dans un raid sur une route provenant du nord de la RCA (République centrafricaine) et allant en direction du village de Boguila”, a précisé à l’AFP le colonel Gilles Jaron, porte-parole de l’Etat-major. La colonne de rebelles étaient équipée de motos, de pick-up et lourdement armée, selon le colonel Jaron. Les Français menaient une mission de “reconnaissance” entre Bossangoa et la ville de Paoua, située vers l’extrémité nord ouest du pays. “Arrivés à hauteur de Boguila, nous avons eu des renseignements sur un mouvement d’une colonne de groupes armés”, a affirmé le colonel Jaron. Les rebelles ont immédiatement engagé le combat “pour s’emparer de notre position”. “Face à l’agressivité de cet adversaire, la force française a eu recours à de l’armement lourd, mortiers, missiles anti-chars. Il y a eu un appui aérien d’avions de chasse venus de N’Djamena”, selon le responsable militaire. Les combats se sont interrompus à la tombée de la nuit, une partie de la colonne adversaire ayant été détruite et d’autres attaquants s’étant “exfiltrés”. La nuit a été calme et les soldats de Sangaris procédaient à des patrouilles dans cette zone difficile d’accès, où la force africaine Misca était absente et où des exactions ont été rapportées, attribuées à l’ex-rébellion Séléka et à des Peuls armés.
Lu 425 fois
Nouveau commentaire :
Dans la même rubrique :
Actualité | Dossiers du weekend | Spécial élections | Les cancres de la campagne | Libé + Eté | Spécial Eté | Rétrospective 2010 | Monde | Société | Régions | Horizons | Economie | Culture | Sport | Ecume du jour | Entretien | Archives | Vidéo | Expresso | En toute Libé | USFP | People | Editorial | Post Scriptum | Billet | Rebonds | Vu d'ici | Scalpel | Chronique littéraire | Billet | Portrait | Au jour le jour | Edito | Sur le vif | RETROSPECTIVE 2020 | RETROSPECTIVE ECO 2020 | RETROSPECTIVE USFP 2020 | RETROSPECTIVE SPORT 2020 | RETROSPECTIVE CULTURE 2020 | RETROSPECTIVE SOCIETE 2020 | RETROSPECTIVE MONDE 2020 | Videos USFP | Economie_Zoom | Economie_Automobile | TVLibe |
|
|||||
|