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La 18ème édition du Festival Gnaoua et musiques du monde a été lancée, jeudi dernier, par la fameuse parade d’ouverture. Colorée et représentative des traditions musicales marocaines, elle a sillonné la ville d’Essaouira pour emmener les festivaliers de la Bab Doukala jusqu’à la Place Moulay Hassan qui a accueilli le concert inaugural. Lequel a réuni sur scène Maâlem Hamid El Kasri et Hamayun Kahn. Hamid El Kasri, digne représentant des gnaouas et l’un des maâlems les plus appréciés et les plus sollicités et Humayun Khan, virtuose de la musique classique indienne, connu à l’échelle internationale pour son style unique, mélangeant poésie perse et raga classique indien, ont ainsi allié harmonieusement les sons du Maroc, d’Inde et d’Afghanistan, une découverte à la croisée d’influences artistiques et culturelles distinctes mais indéniablement complémentaires.
«Nous sommes restés fidèles à l’esprit du festival et notre mission de promouvoir l’art gnaoui avec son authenticité et sa charge culturelle et d’assurer son rayonnement sur la scène artistique, tout en s’ouvrant sur des musiques et des cultures venues d’ailleurs», a souligné le directeur artistique du festival, Abdeslam Alikan, dans une déclaration à la presse.
Au programme de cette soirée d’ouverture, marquée par la présence du conseiller de SM le Roi et président fondateur de l’Association Essaouira-Mogador, André Azoulay et du gouverneur de la province d’Essaouira, Jamal Makhtatar, en plus d’autres personnalités, figurait également une fusion interprétée par Maâlem Mustapha Bakbou et le groupe danois Mikkel Nords Band, en plus de morceaux typiquement gnaouis interprétés par Maâlem Mokhtar Guinea et Maâlem Abdelkebir Merchane.
Il est à noter que des concerts solos aux fusions, des soirées acoustiques aux lilas, des rencontres aux conférences, la programmation du festival qui se poursuit jusqu’au 17 courant, suit la même ligne des éditions précédentes. Les concerts proposés font ainsi l’équilibre entre gnaoui, jazz et découvertes musicales et investissent les espaces les plus emblématiques de la ville, comme la Place Moulay Hassan et la plage pour les spectacles publics, en plus de la terrasse du Borj de Bab Marrakech pour des concerts en plein air et Dar Souiri et la Zaouia Issaoua, qui reçoivent les concerts intimistes. La programmation artistique est, par ailleurs, accompagnée de moments de réflexion sur l’Afrique et son avenir à travers le forum organisé en partenariat avec le Conseil national des droits de l’Homme et qui s’est inscrit, au fil des ans, dans l’esprit du festival. Cette année, l’honneur est à la femme africaine à travers le thème “Femmes d Afrique : créer, entreprendre”, une occasion de mettre l’accent sur les femmes entrepreneurs et créatrices et sur leur rôle dans la dynamique sociale et économique africaine.
«Nous sommes restés fidèles à l’esprit du festival et notre mission de promouvoir l’art gnaoui avec son authenticité et sa charge culturelle et d’assurer son rayonnement sur la scène artistique, tout en s’ouvrant sur des musiques et des cultures venues d’ailleurs», a souligné le directeur artistique du festival, Abdeslam Alikan, dans une déclaration à la presse.
Au programme de cette soirée d’ouverture, marquée par la présence du conseiller de SM le Roi et président fondateur de l’Association Essaouira-Mogador, André Azoulay et du gouverneur de la province d’Essaouira, Jamal Makhtatar, en plus d’autres personnalités, figurait également une fusion interprétée par Maâlem Mustapha Bakbou et le groupe danois Mikkel Nords Band, en plus de morceaux typiquement gnaouis interprétés par Maâlem Mokhtar Guinea et Maâlem Abdelkebir Merchane.
Il est à noter que des concerts solos aux fusions, des soirées acoustiques aux lilas, des rencontres aux conférences, la programmation du festival qui se poursuit jusqu’au 17 courant, suit la même ligne des éditions précédentes. Les concerts proposés font ainsi l’équilibre entre gnaoui, jazz et découvertes musicales et investissent les espaces les plus emblématiques de la ville, comme la Place Moulay Hassan et la plage pour les spectacles publics, en plus de la terrasse du Borj de Bab Marrakech pour des concerts en plein air et Dar Souiri et la Zaouia Issaoua, qui reçoivent les concerts intimistes. La programmation artistique est, par ailleurs, accompagnée de moments de réflexion sur l’Afrique et son avenir à travers le forum organisé en partenariat avec le Conseil national des droits de l’Homme et qui s’est inscrit, au fil des ans, dans l’esprit du festival. Cette année, l’honneur est à la femme africaine à travers le thème “Femmes d Afrique : créer, entreprendre”, une occasion de mettre l’accent sur les femmes entrepreneurs et créatrices et sur leur rôle dans la dynamique sociale et économique africaine.