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La présidente de la Commission de la culture, de l'éducation et de la communication du Sénat français, Catherine Morin-Desailly, actuellement en visite au Maroc à la tête d'une délégation de sept sénateurs, a exprimé, lundi à Rabat, la volonté de son pays de multiplier les projets de coopération avec le Maroc.
Au cours d'une réunion de travail avec le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres, Lahcen Daoudi, en présence de présidents d'universités marocaines, la sénatrice française a souligné que la France est "très attentive" à l'accueil dans ses universités des étudiants marocains, dont le nombre s'élève à près de 34.000 personnes, ajoutant que son pays souhaite, dans ce cadre, multiplier les projets avec le Maroc en raison des défis immenses auxquels la jeunesse est confrontée.
Pour Mme Morin-Desailly, le Maroc et la France partagent le souci de la "juste formation" de leur jeunesse en faveur de son épanouissement et sa réussite.
"Au Maroc comme en France, nous partageons le souci de notre jeunesse et de sa juste formation en lui donnant les clés à la fois de son épanouissement et de sa réussite", a-t-elle déclaré à la MAP, à cette occasion.
La responsable française, qui s'est félicitée des relations d'amitié "anciennes et profondes" liant les deux pays, a fait savoir que cette rencontre vise à établir un état des lieux de la coopération bilatérale et à travailler en faveur de "son nouvel essor, son développement et son approfondissement".
Pour sa part, M. Daoudi a appelé à renforcer davantage les relations "millénaires" tissées entre le Maroc et la France dans le cadre d'un esprit gagnant-gagnant, particulièrement dans les domaines de l'enseignement et de la culture.
"Les universités françaises devraient aller vers des marchés émergents et low-cost, notamment dans les pays industrialisés, en vue de promouvoir et valoriser la recherche", a-t-il ajouté, précisant que la France constitue une porte d’entrée pour le Maroc dans les pays européens.
Cette réunion a été également l'occasion de discuter de sujets relevant notamment de l'éducation, de la formation et de la coopération scientifique et technique, en particulier le développement de la coopération entre les institutions françaises et marocaines.
Composée de sénateurs représentant l'ensemble des forces politiques du Sénat et différentes régions de la France, la délégation parlementaire française effectue du 19 au 25 avril une visite au Royaume, durant laquelle elle devrait s'entretenir avec plusieurs responsables du gouvernement.
Au cours d'une réunion de travail avec le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres, Lahcen Daoudi, en présence de présidents d'universités marocaines, la sénatrice française a souligné que la France est "très attentive" à l'accueil dans ses universités des étudiants marocains, dont le nombre s'élève à près de 34.000 personnes, ajoutant que son pays souhaite, dans ce cadre, multiplier les projets avec le Maroc en raison des défis immenses auxquels la jeunesse est confrontée.
Pour Mme Morin-Desailly, le Maroc et la France partagent le souci de la "juste formation" de leur jeunesse en faveur de son épanouissement et sa réussite.
"Au Maroc comme en France, nous partageons le souci de notre jeunesse et de sa juste formation en lui donnant les clés à la fois de son épanouissement et de sa réussite", a-t-elle déclaré à la MAP, à cette occasion.
La responsable française, qui s'est félicitée des relations d'amitié "anciennes et profondes" liant les deux pays, a fait savoir que cette rencontre vise à établir un état des lieux de la coopération bilatérale et à travailler en faveur de "son nouvel essor, son développement et son approfondissement".
Pour sa part, M. Daoudi a appelé à renforcer davantage les relations "millénaires" tissées entre le Maroc et la France dans le cadre d'un esprit gagnant-gagnant, particulièrement dans les domaines de l'enseignement et de la culture.
"Les universités françaises devraient aller vers des marchés émergents et low-cost, notamment dans les pays industrialisés, en vue de promouvoir et valoriser la recherche", a-t-il ajouté, précisant que la France constitue une porte d’entrée pour le Maroc dans les pays européens.
Cette réunion a été également l'occasion de discuter de sujets relevant notamment de l'éducation, de la formation et de la coopération scientifique et technique, en particulier le développement de la coopération entre les institutions françaises et marocaines.
Composée de sénateurs représentant l'ensemble des forces politiques du Sénat et différentes régions de la France, la délégation parlementaire française effectue du 19 au 25 avril une visite au Royaume, durant laquelle elle devrait s'entretenir avec plusieurs responsables du gouvernement.
