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Le film "We are inside" de la réalisatrice libanaise Farah Kassem a remporté le Grand Prix Nouzha Drissi de la 16ème édition du Festival international du film documentaire d'Agadir (FIDADOC), qui a pris fin jeudi soir.
Lors de cette cérémonie de clôture, marquée par la présence d’une pléiade d’artistes, de cinéastes et de personnalités issues de divers horizons, le Prix spécial du jury a été décerné à "L’Era Di Oro" de Camilla Iannetti, tandis que le Prix de la première œuvre long-métrage est revenu au film "Amakki" de Celia Boussebaa.
Une mention spéciale a également été attribuée au film "J'ai perdu de vue le paysage" de Sophie Bédard Marcotte.
Par ailleurs, dans le cadre des prix partenaires, le Prix ALCA / Institut des Afriques a été remis à Barkima Laguempedo pour "Ma nuit du Djomélé", le Prix du Moulin d'Andé à Karim Hapette pour "Hassania", et le Prix de la Ruche Documentaire à Nelly Behanzin pour "Les petites filles de Hanoï".
Dans une déclaration à la MAP, la réalisatrice libanaise Farah Kassem s’est dite "profondément honorée" de recevoir le Grand Prix Nouzha Drissi pour son film, saluant "un festival engagé, humain, et sincère, où les voix intimes rencontrent les grands questionnements de notre époque".
"Ce prix me touche particulièrement, car il résonne avec l’essence même du film: une quête intérieure, fragile et universelle, portée par la mémoire, la parole et le silence", a-t-elle confié, avant de remercier le public marocain pour son accueil vibrant et sa sensibilité à l’écoute des récits personnels.
Organisé du 13 au 18 juin dans la perle du Souss à l'initiative de l'Association de culture et d’éducation par l'audiovisuel, ce rendez-vous cinématographique a offert l'opportunité aux cinéphiles gadiris et à tous les passionnés du cinéma du réel au Maroc de découvrir sur grand écran le meilleur du cinéma documentaire international.
Lors de cette cérémonie de clôture, marquée par la présence d’une pléiade d’artistes, de cinéastes et de personnalités issues de divers horizons, le Prix spécial du jury a été décerné à "L’Era Di Oro" de Camilla Iannetti, tandis que le Prix de la première œuvre long-métrage est revenu au film "Amakki" de Celia Boussebaa.
Une mention spéciale a également été attribuée au film "J'ai perdu de vue le paysage" de Sophie Bédard Marcotte.
Par ailleurs, dans le cadre des prix partenaires, le Prix ALCA / Institut des Afriques a été remis à Barkima Laguempedo pour "Ma nuit du Djomélé", le Prix du Moulin d'Andé à Karim Hapette pour "Hassania", et le Prix de la Ruche Documentaire à Nelly Behanzin pour "Les petites filles de Hanoï".
Dans une déclaration à la MAP, la réalisatrice libanaise Farah Kassem s’est dite "profondément honorée" de recevoir le Grand Prix Nouzha Drissi pour son film, saluant "un festival engagé, humain, et sincère, où les voix intimes rencontrent les grands questionnements de notre époque".
"Ce prix me touche particulièrement, car il résonne avec l’essence même du film: une quête intérieure, fragile et universelle, portée par la mémoire, la parole et le silence", a-t-elle confié, avant de remercier le public marocain pour son accueil vibrant et sa sensibilité à l’écoute des récits personnels.
Organisé du 13 au 18 juin dans la perle du Souss à l'initiative de l'Association de culture et d’éducation par l'audiovisuel, ce rendez-vous cinématographique a offert l'opportunité aux cinéphiles gadiris et à tous les passionnés du cinéma du réel au Maroc de découvrir sur grand écran le meilleur du cinéma documentaire international.