-
Mise en exergue de la splendeur de l’écriture des Sultans du Maroc et ses fonctions civilisationnelles
-
Participation remarquée du Maroc au 25ème festival de Dijon "les Nuits d'Orient et d’Ailleurs"
-
Plus de 90% des jeunes considèrent la culture comme un levier essentiel de développement personnel et régional
-
Taza à l’heure du Festival international “L’Hayti : Mémoire et Arts Vivants”
Cet hommage légitime est justifié à plus d’un titre, du fait que durant sa longue carrière artistique, ce chanteur de charme exceptionnel, alias « Canari des Palais », a été l’un des pionniers qui ont marqué la chanson marocaine à l’aube de l’indépendance du Royaume. Ayant conquis les faveurs de Feu SM le Roi Hassan II, il a rejoint l’Orchestre symphonique du Palais sur ordre Royal.
Interprète bien expérimenté, doté d’un souffle très puissant, il est aussi compositeur de mérite à l’instar de ses contemporains, à savoir, Abdelkader Rachdi, Mohamed Ben Abdeslam, Larbi Kawakibi, El Gharbaoui, Fouiteh, entre autres. Ce pilier de la chanson marocaine dite moderne, a joué, de surcroît, un rôle majeur dans la découverte, puis l’instauration de l’Opérette arabe dans le creuset musical, riche et varié, du nouveau patrimoine maghrébin. Légende vivante puis témoin de son temps, Abdelwahed Tétouani nous rappelle avec nostalgie la belle époque d’un âge d’or révolu.










Mise en exergue de la splendeur de l’écriture des Sultans du Maroc et ses fonctions civilisationnelles

