Tottenham a réussi à tenir le rythme imposé par le leader Chelsea en s'imposant sur le fil à Crystal Palace (1-0), tandis qu'Arsenal a continué avec peine son redressement en battant Leicester (1-0), mercredi soir en matche en retard de la Premier League.
Au classement, les "Spurs" (2e avec 74 pts) reviennent à quatre points de Chelsea (78 pts), vainqueur de Southampton (4-2) la veille. Mission accomplie: ils sont toujours en lice pour le titre, en embuscade en cas de glissade des "Blues".
Dans la course à la Ligue des champions, et avant le derby de Manchester, entre United (5e avec 63 pts) et City (4e avec 64 pts), Arsenal (6e avec 60 pts) a grignoté des points précieux, quelques jours après sa qualification pour la finale de la Coupe d'Angleterre.
Les "Spurs", humiliés par Chelsea en demi-finale de la FA Cup samedi (4-2), ont réussi à rebondir pour rester dans le tempo des "Blues". Mais rien n'a été facile à Selhurst Park et il a fallu l'inspiration d'Eriksen auteur d'une frappe sèche parfaite de plus de vingt mètres pour assurer la victoire (78). Avant cela, les hommes de Mauricio Pochettino, comme engourdis par le froid, avaient paru sans grande ressource. Le changement tactique de la mi-temps, l'entraîneur argentin passant d'une défense à trois à un plus classique 4-4-2, n'a pas vraiment eu l'effet escompté. Face à des "Eagles" dont le maintien n'est pas encore assuré, ces "Spurs" n'arrivaient à rien. Jusqu'au coup de tonnerre d'Eriksen. Cet éclair de génie a peut-être sauvé la fin de saison de Tottenham, et, signe de la frustration accumulée ces derniers jours, les joueurs ne s'y sont pas trompés en célébrant le but comme lors d'une finale de Coupe du monde.
Les "Gunners" ont eu chaud. A peine entamée, la tentative d'Arsenal de revenir dans la course à la Ligue des champions a failli échouer aussi sec face à Leicester (1-0). Mais un petit coup de chance en fin de match a relancé les "Gunners". Avec sa nouvelle défense à trois, Arsène Wenger avait surpris et relancé son équipe avec deux succès consécutifs, dont un en prolongation en demie de FA Cup dimanche contre Manchester City (2-1).
Mais, dans un Emirates Stadium à moitié vide, signe du désamour des supporters pour leur équipe, les "Gunners" n'ont rien réussi ou presque, monopolisant le ballon sans se montrer dangereux ni inspirés. Comme souvent cette saison. A tel point que, comme son homologue Pochettino, Wenger est repassé dans son classique 4-4-2 en seconde période.
Ca n'a pas beaucoup plus souri, mais le tir de Monreal, malencontreusement dévié par Huth, a su trouver le bon angle, loin des mains de Smeichel en fin de match (86). Pas brillant mais essentiel pour encore espérer un printemps pas trop sombre... et un derby du Nord de Londres bouillant dimanche à White Hart Lane.
Au classement, les "Spurs" (2e avec 74 pts) reviennent à quatre points de Chelsea (78 pts), vainqueur de Southampton (4-2) la veille. Mission accomplie: ils sont toujours en lice pour le titre, en embuscade en cas de glissade des "Blues".
Dans la course à la Ligue des champions, et avant le derby de Manchester, entre United (5e avec 63 pts) et City (4e avec 64 pts), Arsenal (6e avec 60 pts) a grignoté des points précieux, quelques jours après sa qualification pour la finale de la Coupe d'Angleterre.
Les "Spurs", humiliés par Chelsea en demi-finale de la FA Cup samedi (4-2), ont réussi à rebondir pour rester dans le tempo des "Blues". Mais rien n'a été facile à Selhurst Park et il a fallu l'inspiration d'Eriksen auteur d'une frappe sèche parfaite de plus de vingt mètres pour assurer la victoire (78). Avant cela, les hommes de Mauricio Pochettino, comme engourdis par le froid, avaient paru sans grande ressource. Le changement tactique de la mi-temps, l'entraîneur argentin passant d'une défense à trois à un plus classique 4-4-2, n'a pas vraiment eu l'effet escompté. Face à des "Eagles" dont le maintien n'est pas encore assuré, ces "Spurs" n'arrivaient à rien. Jusqu'au coup de tonnerre d'Eriksen. Cet éclair de génie a peut-être sauvé la fin de saison de Tottenham, et, signe de la frustration accumulée ces derniers jours, les joueurs ne s'y sont pas trompés en célébrant le but comme lors d'une finale de Coupe du monde.
Les "Gunners" ont eu chaud. A peine entamée, la tentative d'Arsenal de revenir dans la course à la Ligue des champions a failli échouer aussi sec face à Leicester (1-0). Mais un petit coup de chance en fin de match a relancé les "Gunners". Avec sa nouvelle défense à trois, Arsène Wenger avait surpris et relancé son équipe avec deux succès consécutifs, dont un en prolongation en demie de FA Cup dimanche contre Manchester City (2-1).
Mais, dans un Emirates Stadium à moitié vide, signe du désamour des supporters pour leur équipe, les "Gunners" n'ont rien réussi ou presque, monopolisant le ballon sans se montrer dangereux ni inspirés. Comme souvent cette saison. A tel point que, comme son homologue Pochettino, Wenger est repassé dans son classique 4-4-2 en seconde période.
Ca n'a pas beaucoup plus souri, mais le tir de Monreal, malencontreusement dévié par Huth, a su trouver le bon angle, loin des mains de Smeichel en fin de match (86). Pas brillant mais essentiel pour encore espérer un printemps pas trop sombre... et un derby du Nord de Londres bouillant dimanche à White Hart Lane.