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Du 28 septembre au 03 octobre prochain, la ville de Salé vivra au rythme des sons et images du grand écran. C’est l’Association Bouregreg qui organisera la 3ème édition du Festival international du film de la femme. Le programme de cette année semble riche et varié à plus d’un titre. Outre des projections de films, cette édition comporte des activités parallèles : des tables rondes seront dédiées aux débats sur le cinéma en présence de critiques, journalistes et spécialistes du 7ème Art.
Il est à signaler que le Festival international du film de la femme coïncide cette année avec le 50ème anniversaire du cinéma marocain. Ainsi, 6 longs métrages seront-ils projetés en hommage à leurs réalisatrices marocaines. On peut citer «Wake-up Morocco» de Narjiss Nejjar, «L’enfant endormi» de Yasmine Kessari et «Deux femmes sur la route» de Farida Bourquia. Quant à la compétition officielle, elle compte 12 longs métrages représentant 12 pays. Au côté du Maroc, représenté par «Kharboucha» de Hamid Zoughi, on trouve la France, l’Allemagne, le Pérou, la Bosnie-Herzégovine, la Chine, la Tunisie, l’Egypte, l’Italie, la Syrie et la Grande-Bretagne. Le jury composé de 7 femmes de nationalités différentes dont la Marocaine Imane Mesbahi, devrait primer un seul film. Signalons aussi que le cinéma palestinien sera l’invité d’honneur. Ainsi, l’administration du festival a-t-elle retenu 25 films palestiniens réalisés par des femmes cinéastes (courts métrages et documentaires).
Il faut rappeler que cette édition sera caractérisée par la projection de plusieurs films dans les différents espaces publics de la ville tels que les quartiers défavorisés de Laayayda, Sidi Moussa et Karyat Moussa. D’autres projections auront lieu à l’ancienne médina, la nouvelle Marina, Espace Hollywood, sans oublier Salé El Jadida.
Signalons aussi que ce festival rendra hommage à trois figures du cinéma. Il s’agit de la réalisatrice et productrice palestinienne Alia Arasoughli, la technicienne du cinéma Naima Saoudi (Maroc) et le réalisateur marocain Abdellah Bayahia.
Lors de cette manifestation, le comité administratif signera deux conventions. La première sera conclue avec la Fondation palestinienne «Chachates», et la deuxième avec la Société des réalisateurs de films français, «La quinzaine des réalisateurs». Deux conventions qui constitueraient un atout pour les prochaines éditions.
Cette édition du film international de la femme sera une occasion pour les Slaouis de se réconcilier avec le grand écran, en s’ouvrant sur la culture et le charme du septième Art. Ce dernier est resté en berne au cours des dix dernières années, puisque les salles de cinéma de la ville qui compte plus d’un million d’habitants sont toutes fermées.
Il est à signaler que le Festival international du film de la femme coïncide cette année avec le 50ème anniversaire du cinéma marocain. Ainsi, 6 longs métrages seront-ils projetés en hommage à leurs réalisatrices marocaines. On peut citer «Wake-up Morocco» de Narjiss Nejjar, «L’enfant endormi» de Yasmine Kessari et «Deux femmes sur la route» de Farida Bourquia. Quant à la compétition officielle, elle compte 12 longs métrages représentant 12 pays. Au côté du Maroc, représenté par «Kharboucha» de Hamid Zoughi, on trouve la France, l’Allemagne, le Pérou, la Bosnie-Herzégovine, la Chine, la Tunisie, l’Egypte, l’Italie, la Syrie et la Grande-Bretagne. Le jury composé de 7 femmes de nationalités différentes dont la Marocaine Imane Mesbahi, devrait primer un seul film. Signalons aussi que le cinéma palestinien sera l’invité d’honneur. Ainsi, l’administration du festival a-t-elle retenu 25 films palestiniens réalisés par des femmes cinéastes (courts métrages et documentaires).
Il faut rappeler que cette édition sera caractérisée par la projection de plusieurs films dans les différents espaces publics de la ville tels que les quartiers défavorisés de Laayayda, Sidi Moussa et Karyat Moussa. D’autres projections auront lieu à l’ancienne médina, la nouvelle Marina, Espace Hollywood, sans oublier Salé El Jadida.
Signalons aussi que ce festival rendra hommage à trois figures du cinéma. Il s’agit de la réalisatrice et productrice palestinienne Alia Arasoughli, la technicienne du cinéma Naima Saoudi (Maroc) et le réalisateur marocain Abdellah Bayahia.
Lors de cette manifestation, le comité administratif signera deux conventions. La première sera conclue avec la Fondation palestinienne «Chachates», et la deuxième avec la Société des réalisateurs de films français, «La quinzaine des réalisateurs». Deux conventions qui constitueraient un atout pour les prochaines éditions.
Cette édition du film international de la femme sera une occasion pour les Slaouis de se réconcilier avec le grand écran, en s’ouvrant sur la culture et le charme du septième Art. Ce dernier est resté en berne au cours des dix dernières années, puisque les salles de cinéma de la ville qui compte plus d’un million d’habitants sont toutes fermées.