Autres articles
-
Du swing, du blue note et du guembri à Tanger
-
Clap de fin des "Nuits du film saoudien"
-
Des conteurs marocains et britanniques revisitent l’histoire commune et les influences mutuelles entre les deux Royaumes
-
Arts plastiques. Quatre artistes marocains brillent à Stronarte
-
Exposition de bijoux au Théatre Italia
L’école iranienne vient de confirmer sa notoriété à Zagora. Le film «Rébellion ordinaire» de Hamed Rajabi, a remporté, dimanche soir, le Grand prix de Zagora, pour le compte de la treizième édition du Festival international du film transsaharien de Zagora qui s’est tenu cette année du 22 au 25 courant.
Le même film a décroché le prix du meilleur rôle féminin, revenu à l’actrice Negar Jehavian. En présence de son réalisateur, le film primé a fait l’unanimité des membres du jury. Il raconte l’histoire d’une femme trentenaire qui découvre qu’elle est à son quatrième mois de grossesse mais qu’elle doit subir une intervention chirurgicale. Ainsi commence un voyage de rébellion féminine.
Les films marocains en lice ont été distingués également par le jury présidé par le romancier Abdelkader Chaoui. Il s’agit du film maroco-espagnol d’Oliver Laxe «Mimosa, la voie de l’Atlas», ayant remporté deux prix, celui du jury et celui du meilleur rôle masculin obtenu par le comédien Chakib Benomar. Le prix de la critique a été décerné cette année par la Fédération africaine de la critique. Le jury était composé de la critique sénégalaise Fatou Ciné Kiné, du critique burkinabé Abrahma Bayli et du critique et académicien marocain Rachid Naim. Ce prix est revenu à Mourad Boussif pour son film «Hommes en argile».
Le jury de la compétition composé également de la comédienne Touria Alaoui, du réalisateur sénégalais Moussa Touré, du critique tunisien Mehrèz Karaoui, du critique marocain Mohamed Chouika et du réalisateur égyptien Ahmed Rachwan, a accordé le prix du meilleur scénario au film maltais «Simchar» de Rebbeca Sermonna.
La cérémonie de clôture a été marquée par la remise des prix du concours de scénario, dont le jury était composé de l’écrivain Athman Achqra, du réalisateur Houcine Chani et de la journaliste Samira Baghdad, aux jeunes Hajar Matar et Mohamed Ait Larabi.
Le Festival du film transsaharien a également offert la clé de Zagora à deux de ces nouveaux ambassadeurs, à savoir l’écrivain marocain Abdelkader Chaoui et le réalisateur sénégalais Moussa Touré.
Le même film a décroché le prix du meilleur rôle féminin, revenu à l’actrice Negar Jehavian. En présence de son réalisateur, le film primé a fait l’unanimité des membres du jury. Il raconte l’histoire d’une femme trentenaire qui découvre qu’elle est à son quatrième mois de grossesse mais qu’elle doit subir une intervention chirurgicale. Ainsi commence un voyage de rébellion féminine.
Les films marocains en lice ont été distingués également par le jury présidé par le romancier Abdelkader Chaoui. Il s’agit du film maroco-espagnol d’Oliver Laxe «Mimosa, la voie de l’Atlas», ayant remporté deux prix, celui du jury et celui du meilleur rôle masculin obtenu par le comédien Chakib Benomar. Le prix de la critique a été décerné cette année par la Fédération africaine de la critique. Le jury était composé de la critique sénégalaise Fatou Ciné Kiné, du critique burkinabé Abrahma Bayli et du critique et académicien marocain Rachid Naim. Ce prix est revenu à Mourad Boussif pour son film «Hommes en argile».
Le jury de la compétition composé également de la comédienne Touria Alaoui, du réalisateur sénégalais Moussa Touré, du critique tunisien Mehrèz Karaoui, du critique marocain Mohamed Chouika et du réalisateur égyptien Ahmed Rachwan, a accordé le prix du meilleur scénario au film maltais «Simchar» de Rebbeca Sermonna.
La cérémonie de clôture a été marquée par la remise des prix du concours de scénario, dont le jury était composé de l’écrivain Athman Achqra, du réalisateur Houcine Chani et de la journaliste Samira Baghdad, aux jeunes Hajar Matar et Mohamed Ait Larabi.
Le Festival du film transsaharien a également offert la clé de Zagora à deux de ces nouveaux ambassadeurs, à savoir l’écrivain marocain Abdelkader Chaoui et le réalisateur sénégalais Moussa Touré.
Mohamed Abderrahman Tazi revient sur les débuts du cinéma marocain
Le réalisateur Mohamed Abderrahman Tazi a présenté lors d'un master class, initié dans le cadre de la 13ème édition du Festival international du film transsaharien (FIFT), une rétrospective du cinéma marocain et ses productions distinguées.
Exposant samedi devant des figures cinématographiques et académiques éminentes, Abderrahman Tazi a présenté à une quarantaine de jeunes de la province un éventail d'informations et d'expériences liées à son parcours artistique, en particulier, et aux productions cinématographiques marocaines, en général.
Du film "Wachma", qui marque le début du cinéma marocain, en passant par les longs métrages "Le Grand voyage", et l’œuvre patriotique par excellence "Badis", ainsi que les deux chefs d’œuvre "A la recherche du mari de ma femme" et "Lalla Hobbi", jusqu'au film "El Bayra", Abderrahman Tazi a exposé la trajectoire ayant marqué le cinéma marocain et enrichi le répertoire cinématographique national", commente l'animateur de cette rencontre, Driss El Korri.
Abderrahman Tazi a emmené le public présent une cinquantaine d'années en arrière, en rappelant les difficultés ayant entravé le parcours des jeunes passionnés d'image et du grand écran, tout en saluant le rôle militant des réalisateurs marocains pour la consécration d'une expérience cinématographique nationale dans le cadre du projet culturel démocratique.
Cette rencontre a été marquée par un échange fructueux qui reflète l’intérêt des jeunes et leur connaissance du secteur cinématographique national, ainsi que leurs aspirations au meilleur, consacrant ainsi le thème de cette édition "La critique, une composante majeure de l’industrie de cinéma".
Jeudi, un hommage a été rendu à Mohamed Abderrahmane Tazi et à l'actrice Saâdia Azgoun à l'occasion de l'ouverture de cette 13ème édition.
Exposant samedi devant des figures cinématographiques et académiques éminentes, Abderrahman Tazi a présenté à une quarantaine de jeunes de la province un éventail d'informations et d'expériences liées à son parcours artistique, en particulier, et aux productions cinématographiques marocaines, en général.
Du film "Wachma", qui marque le début du cinéma marocain, en passant par les longs métrages "Le Grand voyage", et l’œuvre patriotique par excellence "Badis", ainsi que les deux chefs d’œuvre "A la recherche du mari de ma femme" et "Lalla Hobbi", jusqu'au film "El Bayra", Abderrahman Tazi a exposé la trajectoire ayant marqué le cinéma marocain et enrichi le répertoire cinématographique national", commente l'animateur de cette rencontre, Driss El Korri.
Abderrahman Tazi a emmené le public présent une cinquantaine d'années en arrière, en rappelant les difficultés ayant entravé le parcours des jeunes passionnés d'image et du grand écran, tout en saluant le rôle militant des réalisateurs marocains pour la consécration d'une expérience cinématographique nationale dans le cadre du projet culturel démocratique.
Cette rencontre a été marquée par un échange fructueux qui reflète l’intérêt des jeunes et leur connaissance du secteur cinématographique national, ainsi que leurs aspirations au meilleur, consacrant ainsi le thème de cette édition "La critique, une composante majeure de l’industrie de cinéma".
Jeudi, un hommage a été rendu à Mohamed Abderrahmane Tazi et à l'actrice Saâdia Azgoun à l'occasion de l'ouverture de cette 13ème édition.