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Les planètes s'alignent pour les organisateurs des JO de Paris, épargnés par la panne informatique mondiale et lancés sous le soleil parisien dans leur dernière ligne droite jusqu'à la cérémonie d'ouverture vendredi, dont les décors se dévoilent peu à peu sur les bords de Seine.
A six jours de cet événement promis exceptionnel par les organisateurs, la flotte des bateaux devant transporter les délégations s'est déployée samedi pour une ultime répétition générale sur le fleuve. Une répétition sans accroc, selon le Comité d'organisation (Cojo) pour qui "tout s'est très bien passé".
"Les résultats du test sont très positifs sur tous les éléments-clés: la navigation à plusieurs bateaux, les enjeux d'espacement et de timing", ont assuré les organisateurs, qui s'emploient à garder le secret jusqu'au dernier moment sur cette parade de six kilomètres sur la Seine, de la gare d'Austerlitz au Trocadéro, au pied de la tour Eiffel.
Un piano posé sur une forme noire flottant sur le fleuve au niveau du pont Mirabeau ou des décors drapés d'une bâche blanche au pied du quai Saint-Exupéry sont de timides indications artistiques de cet événement qui sera entouré d'importantes mesures de sécurité.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a déclaré dans un entretien avec le JDD qu'il n'y avait "aucune menace caractérisée sur la sécurité des Jeux olympiques".
L'hypercentre de Paris et les berges sont désormais bouclées et, pour entrer dans le périmètre, il faut produire un QR Code ou une accréditation.
Ces restrictions à la liberté de mouvement ne plaisent pas à tous: des scènes de colère de Parisiens bloqués aux points de contrôle apparaissent sur les réseaux sociaux, tout comme d'autres montrant des touristes surpris de ne pas pouvoir visiter des secteurs emblématiques de la Ville Lumière et cantonnés à des rues cernées de barrières métalliques.
Commerçants et restaurateurs parisiens se plaignent d'une "baisse d'activité et de fréquentation inédites" à cette période de l'année, selon un communiqué d'organisations professionnelles.
Ces grognes semblent toutefois isolées. Escortée par une foule nombreuse, la flamme olympique, qui a attiré plusieurs millions de personnes depuis son arrivée à Marseille le 8 mai, continue sa route et devait passer sur les bords de la Marne dimanche.
Plus au nord de la capitale, au Village olympique, 2.000 sportifs sont déjà arrivés, selon le CIO. Il accueillera 14.250 personnes, dont environ 9.000 athlètes.
"On a pu discuter avec certains chefs de missions; ils trouvent le village vraiment génial", a confié la veille de l'ouverture le chef adjoint de la délégation française André-Pierre Goubert. "On a des super retours sur le village, les athlètes le trouvent super", renchérit une source au sein du Cojo.
Le président de la République Emmanuel Macron et le président du Comité international olympique (CIO) doivent s'y rendre lundi, quelques heures avant que Thomas Bach ne lance la 142e session de la Commission exécutive du CIO.
La chaleur s'est invitée depuis vendredi dans la capitale française, le thermomètre avoisinant les 30 degrés, mais elle devait quitter les lieux dimanche selon les prévisions météo, scrutées à la loupe par les organisateurs.
Eux espèrent évidemment une journée ensoleillée et sans pluie pour la cérémonie d'ouverture, ce qui semble être la tendance.
Côté organisation, une partie des 45.000 volontaires bénévoles devaient entamer dimanche leur dernière série de formations pour peaufiner l'aide indispensable que doivent apporter ces petites mains aux JO.
Sept-cents d'entre eux devaient être présents dimanche au pied de la Tour Eiffel sur le site du Champ de Mars qui accueillera notamment le beach-volley.
Légère alerte en revanche sur les transports. Si les acteurs publics s'accordent depuis des semaines pour assurer que tout se passera bien, les incidents qui ont touché vendredi soir plusieurs lignes de RER ont réveillé les craintes.
A six jours de cet événement promis exceptionnel par les organisateurs, la flotte des bateaux devant transporter les délégations s'est déployée samedi pour une ultime répétition générale sur le fleuve. Une répétition sans accroc, selon le Comité d'organisation (Cojo) pour qui "tout s'est très bien passé".
"Les résultats du test sont très positifs sur tous les éléments-clés: la navigation à plusieurs bateaux, les enjeux d'espacement et de timing", ont assuré les organisateurs, qui s'emploient à garder le secret jusqu'au dernier moment sur cette parade de six kilomètres sur la Seine, de la gare d'Austerlitz au Trocadéro, au pied de la tour Eiffel.
Un piano posé sur une forme noire flottant sur le fleuve au niveau du pont Mirabeau ou des décors drapés d'une bâche blanche au pied du quai Saint-Exupéry sont de timides indications artistiques de cet événement qui sera entouré d'importantes mesures de sécurité.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a déclaré dans un entretien avec le JDD qu'il n'y avait "aucune menace caractérisée sur la sécurité des Jeux olympiques".
L'hypercentre de Paris et les berges sont désormais bouclées et, pour entrer dans le périmètre, il faut produire un QR Code ou une accréditation.
Ces restrictions à la liberté de mouvement ne plaisent pas à tous: des scènes de colère de Parisiens bloqués aux points de contrôle apparaissent sur les réseaux sociaux, tout comme d'autres montrant des touristes surpris de ne pas pouvoir visiter des secteurs emblématiques de la Ville Lumière et cantonnés à des rues cernées de barrières métalliques.
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Ces grognes semblent toutefois isolées. Escortée par une foule nombreuse, la flamme olympique, qui a attiré plusieurs millions de personnes depuis son arrivée à Marseille le 8 mai, continue sa route et devait passer sur les bords de la Marne dimanche.
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La chaleur s'est invitée depuis vendredi dans la capitale française, le thermomètre avoisinant les 30 degrés, mais elle devait quitter les lieux dimanche selon les prévisions météo, scrutées à la loupe par les organisateurs.
Eux espèrent évidemment une journée ensoleillée et sans pluie pour la cérémonie d'ouverture, ce qui semble être la tendance.
Côté organisation, une partie des 45.000 volontaires bénévoles devaient entamer dimanche leur dernière série de formations pour peaufiner l'aide indispensable que doivent apporter ces petites mains aux JO.
Sept-cents d'entre eux devaient être présents dimanche au pied de la Tour Eiffel sur le site du Champ de Mars qui accueillera notamment le beach-volley.
Légère alerte en revanche sur les transports. Si les acteurs publics s'accordent depuis des semaines pour assurer que tout se passera bien, les incidents qui ont touché vendredi soir plusieurs lignes de RER ont réveillé les craintes.