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Les équipes des deux chercheuses se sont intéressées aux données recueillies entre 1999 et 2001 auprès de 6.000 personnes âgées de plus de 65 ans, dans trois villes de France. Sur ces deux années, 161 nouveaux cas de démence ou d'Alzheimer se sont révélés. Elles ont ensuite classé les loisirs des participants. Ceux dits "stimulants" regroupent les mots croisés, les jeux de cartes, la participation à la vie d'une association, la pratique d'une activité artistique et certaines sorties comme les spectacles. Les loisirs passifs sont les loisirs sédentaires, comme regarder la télévision, écouter de la musique... Il y a aussi les loisirs physiques, comme le jardinage ou le bricolage, et les loisirs sociaux où l'on rencontre d'autres personnes. Une personne pratiquant au moins deux fois par semaine un loisir stimulant a deux fois moins de risque de développer une démence ou la maladie d'Alzheimer par rapport à une personne pratiquant ce même loisir moins d'une fois par semaine. Pour les autres catégories de loisirs, aucune réduction significative n'a été observée.