Autres articles
-
Célébration de la Journée internationale des monuments et des sites
-
La SNRT forme des étudiants de l’ISADAC aux métiers de la réalisation et la scénographie
-
Mohamed Mbarki : Le 4ème Salon maghrébin du livre d'Oujda propose une programmation innovante
-
"Lettres du Maghreb”: Conférence autour de la réalité du roman arabe
-
Colloque inaugural à Rabat de la 8ème Semaine de la langue espagnole au Maroc
L’artiste Mohamed El Baz investit du 20 octobre au 17 novembre prochain, les espaces de la Fondation Farid Belkahia à Marrakech par des installations qui tissent une subtile complicité avec l’œuvre de Farid Belkahia.
Dans cette exposition artistique initiée sous le thème "Carte blanche", Mohamed El Baz a réussi à dialoguer finement avec l’œuvre de Farid Belkahia tout en continuant à développer son œuvre sans cesse réinventée par l’apport de nouveaux défis. Dans le jardin de la Fondation, El Baz installe "l’arbre techno", une sculpture métallique monumentale sur une colline artificielle qui dialogue avec la nature environnante et les arbres si chers à Farid Belkahia et souvent inspirateurs de son œuvre. La salle de conférences "Diwan Al Majalis" est, quant à elle, transformée en "une classe morte", une installation immersive, visuelle et sonore que des voix d’enfants enregistrées dans la classe de Mbarek Bouhchichi dans le collège où il enseigne à Tahanaout parviennent à animer. Un clin d’œil au souci de la transmission du savoir et du savoir-faire qui ont occupé et préoccupé l’esprit du défunt artiste durant sa vie.
A l’entrée du musée trône le portrait de Farid Belkahia en feu conforme aux séries d’images en flammes. Sur le sol du musée est étalée une grande carte du Maroc en puzzle. Cette dernière en relief est plantée de couteaux à certains endroits. Cette carte est une évocation d’une passion qu’avait Belkahia pour sa culture et un regard lucide qu’il porte sur son pays.
Mohamed El Baz est l’un des rares artistes de sa génération ayant une solide culture visuelle et une maturité artistique reflétant son cheminement intellectuel, ancré dans le monde qui l’entoure.
Dans cette exposition artistique initiée sous le thème "Carte blanche", Mohamed El Baz a réussi à dialoguer finement avec l’œuvre de Farid Belkahia tout en continuant à développer son œuvre sans cesse réinventée par l’apport de nouveaux défis. Dans le jardin de la Fondation, El Baz installe "l’arbre techno", une sculpture métallique monumentale sur une colline artificielle qui dialogue avec la nature environnante et les arbres si chers à Farid Belkahia et souvent inspirateurs de son œuvre. La salle de conférences "Diwan Al Majalis" est, quant à elle, transformée en "une classe morte", une installation immersive, visuelle et sonore que des voix d’enfants enregistrées dans la classe de Mbarek Bouhchichi dans le collège où il enseigne à Tahanaout parviennent à animer. Un clin d’œil au souci de la transmission du savoir et du savoir-faire qui ont occupé et préoccupé l’esprit du défunt artiste durant sa vie.
A l’entrée du musée trône le portrait de Farid Belkahia en feu conforme aux séries d’images en flammes. Sur le sol du musée est étalée une grande carte du Maroc en puzzle. Cette dernière en relief est plantée de couteaux à certains endroits. Cette carte est une évocation d’une passion qu’avait Belkahia pour sa culture et un regard lucide qu’il porte sur son pays.
Mohamed El Baz est l’un des rares artistes de sa génération ayant une solide culture visuelle et une maturité artistique reflétant son cheminement intellectuel, ancré dans le monde qui l’entoure.