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Un vibrant hommage a été rendu, samedi soir à Casablanca, à l’homme des lettres et de la culture, le poète palestinien Mahmoud Darwich, lors d’une rencontre, qui a réuni un parterre de poètes du monde arabe.
Initiée dans le cadre des activités de la 25ème édition du Salon international de l'édition et du livre (SIEL-2019), les participants ont rendu hommage aux oeuvres de ce poète, qui a fait parler de lui dans le monde, à travers ses ouvrages poétiques et littéraires."
"Mahmoud Darwich restera toujours présent parmi nous, à travers ses créations littéraires et poétiques, il touchait les fibres les plus sensibles de ses lecteurs et de son auditoire", a indiqué dans un témoignage l’écrivain palestinien, Yahya Yakhlef. Cette emblème de la poésie palestinienne est aussi une voix de la résistance palestinienne, qui a promu la culture de son peuple, a-t-il fait savoir.
Mahmoud Darwish, qui a écrit le texte de la Déclaration de l’indépendance et le texte de la création de l'État de Palestine, qui a été prononcé par Yasser Arafat en 1988 à Alger, "un texte qui était une rhétorique avec un contenu politique, culturel et humaniste'', a-t-il relevé.
Pratiquant la politique à travers sa poésie et sa prose, Mahmoud Darwich a parcouru le monde avec ses poèmes traduits dans plus de vingt langues. De son côté, le poète marocain, Hassan Najmi a évoqué sa première rencontre avec Mahmoud Darwich en 1983, le décrivant comme étant la voix de la résistance palestinienne et leader par des valeurs humanistes. ''Il avait un large public marocain et remplissait les salles lors de ses soirées culturelles'', a-t-il souligné, notant que Darwich a réussi à développer une expérience poétique originale.
Ce grand poète a inspiré nos conversations, nos poèmes, et nos lettres, a-t-il témoigné, ajoutant qu’il a chanté l’exil, la guerre, l’amour et la prison. Né en 1941 dans le village d'Al-Birweh, Mahmoud Darwich est forcé à l'exil en 1948. Il a reçu le prix Nobel de la paix en 1994. Parmi ses ouvrages on cite notamment ''Rien qu’une autre année - Anthologie poétique (1966-1982)'', ''Plus rares sont les roses (1989)'', ''La Palestine comme métaphore (1997)'' et ''État de siège (2004)". Il est décédé le 9 août 2008, à Houston aux États-Unis.
Initiée dans le cadre des activités de la 25ème édition du Salon international de l'édition et du livre (SIEL-2019), les participants ont rendu hommage aux oeuvres de ce poète, qui a fait parler de lui dans le monde, à travers ses ouvrages poétiques et littéraires."
"Mahmoud Darwich restera toujours présent parmi nous, à travers ses créations littéraires et poétiques, il touchait les fibres les plus sensibles de ses lecteurs et de son auditoire", a indiqué dans un témoignage l’écrivain palestinien, Yahya Yakhlef. Cette emblème de la poésie palestinienne est aussi une voix de la résistance palestinienne, qui a promu la culture de son peuple, a-t-il fait savoir.
Mahmoud Darwish, qui a écrit le texte de la Déclaration de l’indépendance et le texte de la création de l'État de Palestine, qui a été prononcé par Yasser Arafat en 1988 à Alger, "un texte qui était une rhétorique avec un contenu politique, culturel et humaniste'', a-t-il relevé.
Pratiquant la politique à travers sa poésie et sa prose, Mahmoud Darwich a parcouru le monde avec ses poèmes traduits dans plus de vingt langues. De son côté, le poète marocain, Hassan Najmi a évoqué sa première rencontre avec Mahmoud Darwich en 1983, le décrivant comme étant la voix de la résistance palestinienne et leader par des valeurs humanistes. ''Il avait un large public marocain et remplissait les salles lors de ses soirées culturelles'', a-t-il souligné, notant que Darwich a réussi à développer une expérience poétique originale.
Ce grand poète a inspiré nos conversations, nos poèmes, et nos lettres, a-t-il témoigné, ajoutant qu’il a chanté l’exil, la guerre, l’amour et la prison. Né en 1941 dans le village d'Al-Birweh, Mahmoud Darwich est forcé à l'exil en 1948. Il a reçu le prix Nobel de la paix en 1994. Parmi ses ouvrages on cite notamment ''Rien qu’une autre année - Anthologie poétique (1966-1982)'', ''Plus rares sont les roses (1989)'', ''La Palestine comme métaphore (1997)'' et ''État de siège (2004)". Il est décédé le 9 août 2008, à Houston aux États-Unis.