Véritable leçon de sportivité, de professionnalisme et de fair-play que celle qui a été donnée par le club espagnol du Real Madrid et de son public lors du match retour des huitièmes de finale de la Ligue des champions contre la formation anglaise de Liverpool. L’importance de l’enjeu n’a nullement constitué une raison pour les Madrilènes d’adopter une attitude qui risquerait de porter un sacré coup à l’image de ce prestigieux club.
Deux buts coup sur coup, validés alors qu’ils ne devaient pas l’être. Le premier sur une faute de l’attaquant de Liverpool Torres sur le défenseur du Real Pepé et le second sur une main inexistante du latéral Heinz ayant conduit à un penalty fort généreux. Avec ses deux réalisations, le sort de cette explication a été scellé dès la demi-heure de jeu et le Real s’est vu acheminer à une cinquième élimination consécutive à ce stade de la compétition en C1.
Ces bévues d’arbitrage n’ont pas donné lieu à un comportement excessif des joueurs du Real et encore moins celui du public ayant fait le déplacement à Anfield Road, stade des Reds. Un Real bon perdant, en témoigne la déclaration de son coach, Juande Ramos : « Nous sommes vraiment très déçus. Il y a des doutes sur les deux premiers buts que nous concédons. Il y a peut-être une faute sur le premier et le penalty n’est pas évident. On devait marquer (…) Mais ils (les joueurs de Liverpool) méritent leur qualification».
Même son de cloche pour le nouveau venu au club, le Français Lassana Diarra, avançant que « les joueurs sont principalement responsables, c’est comme ça, on ne peut que l’accepter ». Une élimination qui restera pour longtemps au travers de la gorge des Madrilènes qui, malgré les investissements conséquents, ont pratiquement raté leur saison, s’acheminant vers la sortie bredouille.
Aux joueurs, entraîneurs, dirigeants et public marocains de saisir cette leçon, pour qui toute erreur d’appréciation s’accompagne de protestations exagérées. A notre petit niveau, les acteurs du football national s’appliquent à voir rouge à tort et à travers, voulant à tout prix faire endosser la responsabilité à l’autre.
Deux buts coup sur coup, validés alors qu’ils ne devaient pas l’être. Le premier sur une faute de l’attaquant de Liverpool Torres sur le défenseur du Real Pepé et le second sur une main inexistante du latéral Heinz ayant conduit à un penalty fort généreux. Avec ses deux réalisations, le sort de cette explication a été scellé dès la demi-heure de jeu et le Real s’est vu acheminer à une cinquième élimination consécutive à ce stade de la compétition en C1.
Ces bévues d’arbitrage n’ont pas donné lieu à un comportement excessif des joueurs du Real et encore moins celui du public ayant fait le déplacement à Anfield Road, stade des Reds. Un Real bon perdant, en témoigne la déclaration de son coach, Juande Ramos : « Nous sommes vraiment très déçus. Il y a des doutes sur les deux premiers buts que nous concédons. Il y a peut-être une faute sur le premier et le penalty n’est pas évident. On devait marquer (…) Mais ils (les joueurs de Liverpool) méritent leur qualification».
Même son de cloche pour le nouveau venu au club, le Français Lassana Diarra, avançant que « les joueurs sont principalement responsables, c’est comme ça, on ne peut que l’accepter ». Une élimination qui restera pour longtemps au travers de la gorge des Madrilènes qui, malgré les investissements conséquents, ont pratiquement raté leur saison, s’acheminant vers la sortie bredouille.
Aux joueurs, entraîneurs, dirigeants et public marocains de saisir cette leçon, pour qui toute erreur d’appréciation s’accompagne de protestations exagérées. A notre petit niveau, les acteurs du football national s’appliquent à voir rouge à tort et à travers, voulant à tout prix faire endosser la responsabilité à l’autre.
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