Griezmann sauveur ! Impliqué sur tous les buts de son équipe, le Français a sorti samedi l'Atlético de Madrid d'un match piège à Valladolid et lui permet de rejoindre, avec une victoire 3-2, le FC Barcelone en tête de la Liga. Juste derrière, le Real Madrid a tenu le rythme et s'est rassuré avant le Mondial des clubs en disposant sans forcer (1-0) du relégable Rayo Vallecano, pour son dernier match de l'année au Santiago-Bernabéu.
L'Atlético a failli se faire surprendre à Valladolid, et n'a sauvé les meubles que grâce à Antoine Griezmann, auteur à la 80e minute du but de la victoire après une seconde période cauchemardesque qui a vu Valladolid revenir un temps à 2-2.
"Je peux encore m'améliorer. Je ne suis pas à mon meilleur niveau (...). L'entraîneur nous avait dit qu'il fallait faire attention aux centres", a déclaré le Français après la rencontre.
Il avait pourtant fait le travail en première période: d'abord une passe décisive pour Kalinic à la 26e minute, expédiée entre les jambes du gardien Jordi Masip, puis un penalty imparable (45e+1), concédé par le défenseur Kiko Olivas qui avait dévié sa frappe de la main et accordé après recours à l'arbitrage vidéo.
Mais la meilleure défense de Liga a ployé en seconde période sous la pression d'un bouillant stade José-Zorrilla, à guichets fermés pour la première fois de la saison.
Le "Pucela" a poussé, dominant largement le jeu et multipliant les centres dans la surface de Jan Oblak.
Calero a d'abord réduit le score, de la tête également, à la 57e minute, puis le milieu madrilène Saul Niguez a provoqué l'égalisation (63e) en expédiant un tir d'Enes Ünal dans ses propres filets.
Malgré cette frayeur, les hommes de Diego Simeone reviennent, avec 31 points, à hauteur du leader, le FC Barcelone, qui joue dimanche sur le terrain de Levante et n'est en tête qu'à la différence de buts.
Le Real Valladolid reste 12e avec 20 points et peut se faire dépasser par Eibar et Valence.
Côté Real Madrid, les "Merengues" ont à peine rassuré l'exigeant public du Santiago-Bernabéu, trois jours après y avoir sombré en Ligue des Champions (0-3) face au CSKA Moscou.
Dominateurs, les hommes de Santiago Solari ont rapidement ouvert le score d'un tir croisé de Karim Benzema (13e), servi par Lucas Vazquez.
Un service minimum sanctionné par des sifflets en fin de match, d'autant que le Rayo a raté une balle d'égalisation dans le temps additionnel.
La facture aurait pourtant pu être plus salée: Marco Asensio a perdu un duel (16e) avec le gardien, Toni Kroos a trouvé le poteau (35e) et Sergio Ramos était signalé légèrement hors-jeu après avoir expédié dans la cage un coup franc de l'Allemand (64e).
Le club de Vallecas, privé de plusieurs de ses cadres pour ce match, reste avant-dernier avec 10 points.
Le Real était au contraire au grand complet, l'occasion pour son Ballon d'Or Luka Modric de présenter le trophée aux supporters, qui lui ont réservé une ovation debout.
Les "Merengues" remontent momentanément à la troisième place et à un point des coleaders, et peuvent maintenant partir sans trop de doutes pour le Mondial des clubs aux Emirats arabes unis, où ils affrontent mercredi les Japonais de Kashima Antlers en demi-finale.
Dimanche, Séville (3e, 28 pts) devait avoir l'occasion de repasser devant le Real et de rejoindre l'Atlético en recevant Gérone (10e, 21 pts) au stade Sanchez-Pizjuan.
L'Atlético a failli se faire surprendre à Valladolid, et n'a sauvé les meubles que grâce à Antoine Griezmann, auteur à la 80e minute du but de la victoire après une seconde période cauchemardesque qui a vu Valladolid revenir un temps à 2-2.
"Je peux encore m'améliorer. Je ne suis pas à mon meilleur niveau (...). L'entraîneur nous avait dit qu'il fallait faire attention aux centres", a déclaré le Français après la rencontre.
Il avait pourtant fait le travail en première période: d'abord une passe décisive pour Kalinic à la 26e minute, expédiée entre les jambes du gardien Jordi Masip, puis un penalty imparable (45e+1), concédé par le défenseur Kiko Olivas qui avait dévié sa frappe de la main et accordé après recours à l'arbitrage vidéo.
Mais la meilleure défense de Liga a ployé en seconde période sous la pression d'un bouillant stade José-Zorrilla, à guichets fermés pour la première fois de la saison.
Le "Pucela" a poussé, dominant largement le jeu et multipliant les centres dans la surface de Jan Oblak.
Calero a d'abord réduit le score, de la tête également, à la 57e minute, puis le milieu madrilène Saul Niguez a provoqué l'égalisation (63e) en expédiant un tir d'Enes Ünal dans ses propres filets.
Malgré cette frayeur, les hommes de Diego Simeone reviennent, avec 31 points, à hauteur du leader, le FC Barcelone, qui joue dimanche sur le terrain de Levante et n'est en tête qu'à la différence de buts.
Le Real Valladolid reste 12e avec 20 points et peut se faire dépasser par Eibar et Valence.
Côté Real Madrid, les "Merengues" ont à peine rassuré l'exigeant public du Santiago-Bernabéu, trois jours après y avoir sombré en Ligue des Champions (0-3) face au CSKA Moscou.
Dominateurs, les hommes de Santiago Solari ont rapidement ouvert le score d'un tir croisé de Karim Benzema (13e), servi par Lucas Vazquez.
Un service minimum sanctionné par des sifflets en fin de match, d'autant que le Rayo a raté une balle d'égalisation dans le temps additionnel.
La facture aurait pourtant pu être plus salée: Marco Asensio a perdu un duel (16e) avec le gardien, Toni Kroos a trouvé le poteau (35e) et Sergio Ramos était signalé légèrement hors-jeu après avoir expédié dans la cage un coup franc de l'Allemand (64e).
Le club de Vallecas, privé de plusieurs de ses cadres pour ce match, reste avant-dernier avec 10 points.
Le Real était au contraire au grand complet, l'occasion pour son Ballon d'Or Luka Modric de présenter le trophée aux supporters, qui lui ont réservé une ovation debout.
Les "Merengues" remontent momentanément à la troisième place et à un point des coleaders, et peuvent maintenant partir sans trop de doutes pour le Mondial des clubs aux Emirats arabes unis, où ils affrontent mercredi les Japonais de Kashima Antlers en demi-finale.
Dimanche, Séville (3e, 28 pts) devait avoir l'occasion de repasser devant le Real et de rejoindre l'Atlético en recevant Gérone (10e, 21 pts) au stade Sanchez-Pizjuan.