Grâce à Karim Benzema, le Real Madrid a dompté Alavés 3-0 dimanche en Championnat d'Espagne, avertissant ses deux prochains adversaires: le leader Barcelone avant un clasico mercredi en Coupe du Roi, et l'Atlético, battu 1-0 par le Betis avant un derby madrilène samedi.
Seul club parmi les quatre premiers de Liga à avoir gagné lors de la 22e journée, le Real (3e, 42 pts) a réussi un joli coup: réduire l'écart avec le Barça (1er, 50 pts), freiné samedi par Valence (2-2), et revenir à portée de l'"Atleti" (2e, 44 pts) qui recevra le club merengue le week-end prochain.
Ce nouveau succès d'un Real revigoré porte la marque de Benzema (30e minute), auteur de son sixième but en quatre matches officiels, le dixième cette saison en Liga et le 18e toutes compétitions confondues. La pépite brésilienne Vinicius, très complice avec le Français, a ensuite alourdi le score (80e), avant une tête plongeante de Mariano (90e+1).
Et la semaine s'annonce électrique en Espagne puisque la "Maison blanche" fera face tour à tour à ses deux plus grands rivaux, d'abord en demi-finale de Coupe du Roi au Camp Nou, ensuite au Metropolitano pour la 23e journée de Liga. Suivra dans la foulée un huitième de finale aller de Ligue des champions contre l'Ajax Amsterdam, soit un enchaînement de sommets pour l'équipe de Santiago Solari!
"Nous allons lutter sur tous les plans", a promis le technicien argentin en conférence de presse. "Ce soir, on a vu notre faim de réduire l'écart et nous y sommes parvenus."
Au vu de la prestation très sérieuse de ce Real, les supporters merengues peuvent espérer un autre visage que celui montré en octobre lors de la gifle reçue en Liga au Camp Nou (5-1), qui avait précipité la nomination de Solari.
Surtout avec un Benzema aussi irrésistible, qui a largement contribué au monologue offensif des Madrilènes dimanche contre Alavés.
L'avant-centre français semble avoir la réussite de son côté, comme par exemple sur son but: un plat du pied, sans opposition, sur un centre rasant de Sergio Reguilon (30e).
Et sa complicité avec la pépite brésilienne Vinicius se confirme match après match. Ces deux-là se cherchent et combinent sur le flanc gauche, laissant un peu seul le pauvre Gareth Bale qui peine à retrouver son plein rendement après sa récente blessure à un mollet.
C'est dire l'impact de Vinicius (18 ans), qui s'installe petit à petit dans la peau d'un titulaire au sein de l'équipe triple tenante de la C1: à chaque prise de balle de l'ailier brésilien, un frisson a semblé parcourir la défense adverse.
Et il a été récompensé d'un but (80e) et d'une ovation du Bernabeu à sa sortie du terrain (87e).
"Il a réussi un grand match", s'est réjoui Solari. "Nous sommes ravis de son intégration et de sa progression."
Bref, à l'image d'un Luka Modric retrouvé, le Real espère inverser la dynamique d'une saison initialement mal engagée.
Côté Atlético, une série a pris fin dimanche: le club "colchonero" était invaincu en Liga depuis septembre mais a fini par chuter face au Betis Séville (1-0), ratant une opportunité en or de revenir à portée du Barça.
Après 18 matches sans défaite en Liga, les "Colchoneros" se sont inclinés en Andalousie sur un penalty transformé par Sergio Canales (65e) au terme d'un match fermé.
C'est rageant pour l'attaquant français Antoine Griezmann, capitaine de l'Atlético dimanche, qui a expédié une frappe sur le poteau (67e) et montré une entente prometteuse avec la recrue Alvaro Morata dans une rencontre pauvre en occasions.
"Le Betis a profité du penalty qu'on leur a offert et ils ont mérité la victoire", a commenté l'entraîneur madrilène Diego Simeone. "Mais je veux retenir l'aspect positif: si le Barça avait gagné (samedi), cela aurait été pire, donc restons tranquilles et continuons à travailler".
Seul club parmi les quatre premiers de Liga à avoir gagné lors de la 22e journée, le Real (3e, 42 pts) a réussi un joli coup: réduire l'écart avec le Barça (1er, 50 pts), freiné samedi par Valence (2-2), et revenir à portée de l'"Atleti" (2e, 44 pts) qui recevra le club merengue le week-end prochain.
Ce nouveau succès d'un Real revigoré porte la marque de Benzema (30e minute), auteur de son sixième but en quatre matches officiels, le dixième cette saison en Liga et le 18e toutes compétitions confondues. La pépite brésilienne Vinicius, très complice avec le Français, a ensuite alourdi le score (80e), avant une tête plongeante de Mariano (90e+1).
Et la semaine s'annonce électrique en Espagne puisque la "Maison blanche" fera face tour à tour à ses deux plus grands rivaux, d'abord en demi-finale de Coupe du Roi au Camp Nou, ensuite au Metropolitano pour la 23e journée de Liga. Suivra dans la foulée un huitième de finale aller de Ligue des champions contre l'Ajax Amsterdam, soit un enchaînement de sommets pour l'équipe de Santiago Solari!
"Nous allons lutter sur tous les plans", a promis le technicien argentin en conférence de presse. "Ce soir, on a vu notre faim de réduire l'écart et nous y sommes parvenus."
Au vu de la prestation très sérieuse de ce Real, les supporters merengues peuvent espérer un autre visage que celui montré en octobre lors de la gifle reçue en Liga au Camp Nou (5-1), qui avait précipité la nomination de Solari.
Surtout avec un Benzema aussi irrésistible, qui a largement contribué au monologue offensif des Madrilènes dimanche contre Alavés.
L'avant-centre français semble avoir la réussite de son côté, comme par exemple sur son but: un plat du pied, sans opposition, sur un centre rasant de Sergio Reguilon (30e).
Et sa complicité avec la pépite brésilienne Vinicius se confirme match après match. Ces deux-là se cherchent et combinent sur le flanc gauche, laissant un peu seul le pauvre Gareth Bale qui peine à retrouver son plein rendement après sa récente blessure à un mollet.
C'est dire l'impact de Vinicius (18 ans), qui s'installe petit à petit dans la peau d'un titulaire au sein de l'équipe triple tenante de la C1: à chaque prise de balle de l'ailier brésilien, un frisson a semblé parcourir la défense adverse.
Et il a été récompensé d'un but (80e) et d'une ovation du Bernabeu à sa sortie du terrain (87e).
"Il a réussi un grand match", s'est réjoui Solari. "Nous sommes ravis de son intégration et de sa progression."
Bref, à l'image d'un Luka Modric retrouvé, le Real espère inverser la dynamique d'une saison initialement mal engagée.
Côté Atlético, une série a pris fin dimanche: le club "colchonero" était invaincu en Liga depuis septembre mais a fini par chuter face au Betis Séville (1-0), ratant une opportunité en or de revenir à portée du Barça.
Après 18 matches sans défaite en Liga, les "Colchoneros" se sont inclinés en Andalousie sur un penalty transformé par Sergio Canales (65e) au terme d'un match fermé.
C'est rageant pour l'attaquant français Antoine Griezmann, capitaine de l'Atlético dimanche, qui a expédié une frappe sur le poteau (67e) et montré une entente prometteuse avec la recrue Alvaro Morata dans une rencontre pauvre en occasions.
"Le Betis a profité du penalty qu'on leur a offert et ils ont mérité la victoire", a commenté l'entraîneur madrilène Diego Simeone. "Mais je veux retenir l'aspect positif: si le Barça avait gagné (samedi), cela aurait été pire, donc restons tranquilles et continuons à travailler".