Thomas Lemar imprime sa marque! Auteur de son premier but en championnat d'Espagne, le Français a terrassé Getafe (2-0) samedi pour la 5e journée et rapproché l'Atlético de la tête, occupée provisoirement par le Real Madrid, vainqueur de l'Espanyol (1-0).
Transfert le plus onéreux de l'été en Liga (environ 75 M EUR), Lemar a surpris par son adaptation express au jeu intense et compact voulu par l'entraîneur Diego Simeone. Et il a concrétisé samedi sur un tir à angle fermé (60e), après avoir provoqué l'ouverture du score d'une frappe limpide de 25 mètres qui a rebondi sur la transversale puis sur le dos du gardien David Soria, buteur contre son camp (14e).
"C'est quelque chose de grand, je ne l'oublierai jamais", a réagi le Guadeloupéen. "L'entraîneur me fait confiance et c'est la moindre des choses de lui renvoyer l'ascenseur."
Au classement, l'Atlético remonte à la 5e place (8 pts), à cinq longueurs du Real Madrid (1er, 13 pts) qui a battu l'Espanyol Barcelone sur un but de Marco Asensio (41e minute) et quelques frayeurs.
Le FC Barcelone (2e, 12 pts), auteur d'un sans-faute jusque-là, devait affronter hier l’équipe de Gérone.
A Getafe, alors qu'Antoine Griezmann a péché dans la finition, les deux fulgurances de Lemar ont permis à l'Atlético, bousculé, d'obtenir une précieuse victoire chez son voisin de la banlieue sud de Madrid. Le "Geta" a fini à dix après l'exclusion d'Ivan Alejo pour un carton rouge direct consécutif à une semelle (67e).
Outre Lemar, l'autre sauveur "colchonero" samedi s'appelle Jan Oblak. Le gardien slovène a encore multiplié les interventions décisives (43e, 61e), signe que tout n'est pas réglé au sein d'une défense où Lucas Hernandez était titulaire en charnière centrale et n'a pas démérité.
Quoi qu'il en soit, voilà qui confirme le réveil de l'"Atleti", auteur d'un début de saison irrégulier entre le sacre en Supercoupe d'Europe face au Real (4-2 a.p.), sa victoire inaugurale mardi dernier contre Monaco en Ligue des champions (2-1), et des performances jusque-là décevantes en Liga.
C'est de bon augure avant de recevoir mardi le promu Huesca, et surtout avant le derby madrilène face au Real samedi prochain au stade Santiago-Bernabeu.
Pour sa part, le club merengue transmet match après match des sensations positives avec un jeu séduisant et une menace chorale incarnée par Marco Asensio, Isco, Luka Modric ou Karim Benzema.
Contre un Espanyol dangereux en contre, l'équipe de Julen Lopetegui a maîtrisé les débats en première période malgré l'absence de plusieurs cadres laissés au repos (Bale, Kroos, Marcelo...).
Dans la cage, le Belge Thibaut Courtois avait pris la place du Costaricien Keylor Navas, titulaire mercredi en Ligue des champions, signe qu'une alternance semble s'esquisser entre les deux portiers.
Courtois, vigilant sur un tir à bout portant (36e), a eu un peu de chance sur une occasion brûlante de l'Espanyol lorsque, après une bourde de Sergio Ramos, Borja Iglesias a expédié un lob sur la transversale (65e).
Heureusement pour les Madrilènes, Asensio s'était chargé de donner l'avantage au Real en concrétisant une belle action collective initiée par Benzema et poursuivie par Modric, le but étant accordé après recours à l'arbitrage vidéo (41e).
La seconde période a été beaucoup plus poussive face aux banderilles de l'Espanyol mais le Real, à l'économie, a préservé jusqu'au bout son avantage.
"Nous avons souffert mais nous avons joué en équipe, sans encaisser de but. C'est une belle victoire", a savouré le défenseur français Raphaël Varane au micro de beIN Sports Espagne. "Nous n'allons pas gagner 5-0 tous les matches, la Liga est très compliquée et il faut mouiller le maillot."
Transfert le plus onéreux de l'été en Liga (environ 75 M EUR), Lemar a surpris par son adaptation express au jeu intense et compact voulu par l'entraîneur Diego Simeone. Et il a concrétisé samedi sur un tir à angle fermé (60e), après avoir provoqué l'ouverture du score d'une frappe limpide de 25 mètres qui a rebondi sur la transversale puis sur le dos du gardien David Soria, buteur contre son camp (14e).
"C'est quelque chose de grand, je ne l'oublierai jamais", a réagi le Guadeloupéen. "L'entraîneur me fait confiance et c'est la moindre des choses de lui renvoyer l'ascenseur."
Au classement, l'Atlético remonte à la 5e place (8 pts), à cinq longueurs du Real Madrid (1er, 13 pts) qui a battu l'Espanyol Barcelone sur un but de Marco Asensio (41e minute) et quelques frayeurs.
Le FC Barcelone (2e, 12 pts), auteur d'un sans-faute jusque-là, devait affronter hier l’équipe de Gérone.
A Getafe, alors qu'Antoine Griezmann a péché dans la finition, les deux fulgurances de Lemar ont permis à l'Atlético, bousculé, d'obtenir une précieuse victoire chez son voisin de la banlieue sud de Madrid. Le "Geta" a fini à dix après l'exclusion d'Ivan Alejo pour un carton rouge direct consécutif à une semelle (67e).
Outre Lemar, l'autre sauveur "colchonero" samedi s'appelle Jan Oblak. Le gardien slovène a encore multiplié les interventions décisives (43e, 61e), signe que tout n'est pas réglé au sein d'une défense où Lucas Hernandez était titulaire en charnière centrale et n'a pas démérité.
Quoi qu'il en soit, voilà qui confirme le réveil de l'"Atleti", auteur d'un début de saison irrégulier entre le sacre en Supercoupe d'Europe face au Real (4-2 a.p.), sa victoire inaugurale mardi dernier contre Monaco en Ligue des champions (2-1), et des performances jusque-là décevantes en Liga.
C'est de bon augure avant de recevoir mardi le promu Huesca, et surtout avant le derby madrilène face au Real samedi prochain au stade Santiago-Bernabeu.
Pour sa part, le club merengue transmet match après match des sensations positives avec un jeu séduisant et une menace chorale incarnée par Marco Asensio, Isco, Luka Modric ou Karim Benzema.
Contre un Espanyol dangereux en contre, l'équipe de Julen Lopetegui a maîtrisé les débats en première période malgré l'absence de plusieurs cadres laissés au repos (Bale, Kroos, Marcelo...).
Dans la cage, le Belge Thibaut Courtois avait pris la place du Costaricien Keylor Navas, titulaire mercredi en Ligue des champions, signe qu'une alternance semble s'esquisser entre les deux portiers.
Courtois, vigilant sur un tir à bout portant (36e), a eu un peu de chance sur une occasion brûlante de l'Espanyol lorsque, après une bourde de Sergio Ramos, Borja Iglesias a expédié un lob sur la transversale (65e).
Heureusement pour les Madrilènes, Asensio s'était chargé de donner l'avantage au Real en concrétisant une belle action collective initiée par Benzema et poursuivie par Modric, le but étant accordé après recours à l'arbitrage vidéo (41e).
La seconde période a été beaucoup plus poussive face aux banderilles de l'Espanyol mais le Real, à l'économie, a préservé jusqu'au bout son avantage.
"Nous avons souffert mais nous avons joué en équipe, sans encaisser de but. C'est une belle victoire", a savouré le défenseur français Raphaël Varane au micro de beIN Sports Espagne. "Nous n'allons pas gagner 5-0 tous les matches, la Liga est très compliquée et il faut mouiller le maillot."
Valverde pas pressé de discuter d'une prolongation
L'entraîneur du FC Barcelone Ernesto Valverde, sous contrat jusqu'en 2019 avec une année supplémentaire en option, a assuré samedi n'être pas pressé de discuter de son avenir, alors que le président barcelonais Josep Maria Bartomeu a renvoyé toute négociation à mars prochain.
"Je suis sous contrat, j'ai une possibilité de prolonger pour une année supplémentaire", a rappelé le technicien en conférence de presse à la veille d'affronter Gérone dimanche en championnat d'Espagne.
"On sait comment cela se passe, les saisons sont longues et il faut voir comment fonctionne l'équipe, donc (ce calendrier) me paraît bien. Nous n'en sommes qu'au mois de septembre et le chemin est très long", a ajouté Valverde.
Vainqueur du doublé Liga-Coupe pour sa première saison, l'entraîneur basque a néanmoins été fragilisé par la renversante élimination en quarts de finale de Ligue des champions au printemps dernier contre l'AS Rome (4-1, 0-3).
Et malgré un bon début de campagne cet été en Liga (12 points sur 12 possibles), l'ancien technicien de l'Athletic Bilbao est parfois critiqué pour le style pragmatique et peu délié de son équipe, loin du sacro-saint jeu de passes apprécié à Barcelone.
"Je suis sous contrat, j'ai une possibilité de prolonger pour une année supplémentaire", a rappelé le technicien en conférence de presse à la veille d'affronter Gérone dimanche en championnat d'Espagne.
"On sait comment cela se passe, les saisons sont longues et il faut voir comment fonctionne l'équipe, donc (ce calendrier) me paraît bien. Nous n'en sommes qu'au mois de septembre et le chemin est très long", a ajouté Valverde.
Vainqueur du doublé Liga-Coupe pour sa première saison, l'entraîneur basque a néanmoins été fragilisé par la renversante élimination en quarts de finale de Ligue des champions au printemps dernier contre l'AS Rome (4-1, 0-3).
Et malgré un bon début de campagne cet été en Liga (12 points sur 12 possibles), l'ancien technicien de l'Athletic Bilbao est parfois critiqué pour le style pragmatique et peu délié de son équipe, loin du sacro-saint jeu de passes apprécié à Barcelone.