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Le moins que l’on puisse dire, c’est que groupe Mazagan se porte à merveille et que ses prestations, au Maroc comme à l’étranger, sont toujours couronnées de succès. La preuve, les maîtres du Chaâbi-Groove ont fait de nouveaux fans au Canada où ils viennent de prendre part avec brio à deux événements musicaux d’envergure internationale.
En effet, la joyeuse bande de jeunes musiciens a récemment fait sensation au Festival « Rythmes du monde » qui s’est tenu à Chicoutimi et séduit un public nombreux aux « Journées d’Afrique au Québec ». Deux prestations couronnées de succès qui confirment, si besoin est, l’embonpoint du groupe, la capacité de ses musiciens à dompter les scènes en dehors du Maroc, mais aussi tout le bien que l’on pense de ces derniers.
Mazagan de plus en plus international. Rien d’étonnant à cela. Car, il faut admettre que cette formation, créée il y a 12 ans, a su s’imposer sur la scène musicale nationale et internationale par des styles variés composés de chants ruraux et urbains. Un savant mélange de genres et de styles qui s’est rapidement avéré très explosif et que bien d’observateurs ainsi qu’une cohorte de fans apprécient à sa juste valeur.
Comme à son habitude, le groupe a une fois encore distillé son savoir-faire et le talent de ses musiciens loin de son pays d’origine, au point de séduire les publics d’ailleurs grâce à la richesse et puissance de ses sonorités et surtout et son ouverture d’esprit. En effet, bien que s’inspirant de la culture marocaine, les musiciens sont restés des adeptes de l’ouverture sur le monde. Une philosophie que l’on retrouve justement à travers leur répertoire parfumé à la culture méditerranéenne, berbère et africaine.
Et ce n’est que normal si les six bêtes de scène ont enflammé les planches de l’Amérique du Nord et fait chavirer le cœur des Canadiens qui découvraient à cette occasion un pan du trésor musical marocain au parfum Mazagan.
Le premier album du groupe intitulé «La tradition qui coule» sort en 2005. Et confirme tout le bien que l’on pense de ces musiciens. Grâce à son style unique et innovant et à une prestance scénique extraordinaire, le groupe continue son bonhomme de chemin, gagnant au fil des prestations et des années de nouveaux fans.
«Doukkala air lines », leur dernier album, confirme la capacité de ces musiciens à combiner musique traditionnelle et standards populaires. Un groupe devenu l’une des figures incontournables de la fusion marocaine.
Né de la rencontre entre trois amis musiciens, le groupe Mazagan compte désormais dans ses rangs Issam Kamal (chant, guitare, mandoline, composition), Nabil Andalous Ouartassi (batterie, voix), Abdelhak Amal (claviers), Mohammed Hamam (claviers, voix), Ghafara Belattar (percussions), Bouhssine Foulane (violon, ribab, voix), Mohamed Ali Aït Tahiri (technique) et Adil Laaqissi (basse).
Pour la petite histoire, la direction du Festival « Rythmes du monde » de Chicoutimi a qualifié le concert de Mazagan d’exceptionnel, tellement séduit par sa brillante prestation. Le groupe a merveilleusement fait danser le public au point que les organisateurs ont manifesté leur souhait de le revoir à la prochaine édition. Telle est la moisson du succès.
En effet, la joyeuse bande de jeunes musiciens a récemment fait sensation au Festival « Rythmes du monde » qui s’est tenu à Chicoutimi et séduit un public nombreux aux « Journées d’Afrique au Québec ». Deux prestations couronnées de succès qui confirment, si besoin est, l’embonpoint du groupe, la capacité de ses musiciens à dompter les scènes en dehors du Maroc, mais aussi tout le bien que l’on pense de ces derniers.
Mazagan de plus en plus international. Rien d’étonnant à cela. Car, il faut admettre que cette formation, créée il y a 12 ans, a su s’imposer sur la scène musicale nationale et internationale par des styles variés composés de chants ruraux et urbains. Un savant mélange de genres et de styles qui s’est rapidement avéré très explosif et que bien d’observateurs ainsi qu’une cohorte de fans apprécient à sa juste valeur.
Comme à son habitude, le groupe a une fois encore distillé son savoir-faire et le talent de ses musiciens loin de son pays d’origine, au point de séduire les publics d’ailleurs grâce à la richesse et puissance de ses sonorités et surtout et son ouverture d’esprit. En effet, bien que s’inspirant de la culture marocaine, les musiciens sont restés des adeptes de l’ouverture sur le monde. Une philosophie que l’on retrouve justement à travers leur répertoire parfumé à la culture méditerranéenne, berbère et africaine.
Et ce n’est que normal si les six bêtes de scène ont enflammé les planches de l’Amérique du Nord et fait chavirer le cœur des Canadiens qui découvraient à cette occasion un pan du trésor musical marocain au parfum Mazagan.
Le premier album du groupe intitulé «La tradition qui coule» sort en 2005. Et confirme tout le bien que l’on pense de ces musiciens. Grâce à son style unique et innovant et à une prestance scénique extraordinaire, le groupe continue son bonhomme de chemin, gagnant au fil des prestations et des années de nouveaux fans.
«Doukkala air lines », leur dernier album, confirme la capacité de ces musiciens à combiner musique traditionnelle et standards populaires. Un groupe devenu l’une des figures incontournables de la fusion marocaine.
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