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Fruit d’une convention de don d’archives privées signée le 17 septembre 2020 avec la famille du défunt, l’exposition fait la lumière sur l’oeuvre de cet architecte “atypique”, dont la production architecturale puisait dans la tradition marocaine, tout en s’appuyant sur les concepts du mouvement “moderne”, ajoute le communiqué.
Natif de Port-Lyautey (Kénitra) au sein d’une famille d’artistes, M. Sijelmassi a passé sa jeunesse entre Kénitra, Fès et Casablanca. En 1973, il décroche son diplôme de l’École des Beaux-Arts de Paris, détaille Archives du Maroc, tout en rappelant l’immersion culturelle “fructueuse” du défunt dans la capitale française, qui “bouillonnait alors dans le contexte soixantehuitard”. De retour à Casablanca en 1976, M. Sijelmassi fait rapidement preuve d’un “talent architectural exceptionnel, atypique et pluriel”. Abderrahim Sijelmassi, poursuit le communiqué, s’exprimait dans des expressions artistiques multiples comme la poésie, la peinture et la sculpture : de vastes domaines d’où il puise, des années durant, son inspiration pour produire de formidables œuvres architecturales. Disparu prématurément le 29 novembre 2013 à Casablanca, le défunt a laissé derrière lui une œuvre architecturale considérable, digne des plus grands architectes contemporains. Son héritage archivistique (plans, esquisses, photos, peintures, textes et autres) reflète sa personnalité prolifique et sa carrière sans concessions.