Autres articles
Le Qatar a une expérience dans les compétitions sportives régionales et mondiales et est prêt à consacrer beaucoup d'argent à ce Mondial mais il est handicapé par son climat, alors que la taille du pays semble poser problème à la Fifa.
Forces
Très actif dans l'organisation d'événements
Le Qatar est fort d'une expérience dans l'organisation de grands événements sportifs. Il a ainsi accueilli en 1995 la Coupe du monde de football des moins de 20 ans et en 2006 les 15e jeux Asiatiques dont le déroulement a été perçu comme le meilleur de l'histoire. Le Qatar organise également depuis 1994 un Grand Prix Moto GP et depuis 1990 un tournoi de tennis ATP. Il a en outre accueilli à Doha les Masters féminin de tennis. En 2011, il organisera la Coupe d'Asie des nations de football et les Jeux pan-arabes.
Une initiative innovante au plan logistique
Le Qatar va construire de nouveaux stades, dont certaines installations seront démontées après le Mondial pour être offertes à des pays en développement, peu équipés en infrastructures sportives.
Peu de déplacements
Le public n'aura pas à faire de longs déplacements pour suivre les matches, et pourra assister à deux matches en un seul jour, les stades étant proches les uns des autres. Un avantage aussi pour les médias.
Une enveloppe dédiée
Le Qatar, dont le taux de croissance économique est l'un des plus élevés au monde, consacre une enveloppe de 100 milliards de dollars au développement de ses infrastructures, avec l'ambition de s'imposer comme un centre touristique.
Faiblesses
Un petit territoire
D'une superficie de quelque 11.400 km2, le Qatar est le plus petit pays du monde à se porter candidat pour organiser le Mondial dans l'histoire de la Fifa, qui semble s'inquiéter de cette configuration inédite. Si elle est une bonne nouvelle pour les spectateurs, la proximité des stades, tous prévus dans un rayon de 50 km, poserait aussi un problème de logistique et d'organisation.
Les températures
La chaleur est un facteur négatif, avec des températures de 45 degrés Celsius en juin et juillet, mois durant lesquels est organisé le Mondial. Pour y remédier, le comité d'organisation met en avant son expérience en matière de climatisation des stades, proposant des stades climatisés de deuxième génération, fonctionnant à l'énergie solaire.
Forces
Très actif dans l'organisation d'événements
Le Qatar est fort d'une expérience dans l'organisation de grands événements sportifs. Il a ainsi accueilli en 1995 la Coupe du monde de football des moins de 20 ans et en 2006 les 15e jeux Asiatiques dont le déroulement a été perçu comme le meilleur de l'histoire. Le Qatar organise également depuis 1994 un Grand Prix Moto GP et depuis 1990 un tournoi de tennis ATP. Il a en outre accueilli à Doha les Masters féminin de tennis. En 2011, il organisera la Coupe d'Asie des nations de football et les Jeux pan-arabes.
Une initiative innovante au plan logistique
Le Qatar va construire de nouveaux stades, dont certaines installations seront démontées après le Mondial pour être offertes à des pays en développement, peu équipés en infrastructures sportives.
Peu de déplacements
Le public n'aura pas à faire de longs déplacements pour suivre les matches, et pourra assister à deux matches en un seul jour, les stades étant proches les uns des autres. Un avantage aussi pour les médias.
Une enveloppe dédiée
Le Qatar, dont le taux de croissance économique est l'un des plus élevés au monde, consacre une enveloppe de 100 milliards de dollars au développement de ses infrastructures, avec l'ambition de s'imposer comme un centre touristique.
Faiblesses
Un petit territoire
D'une superficie de quelque 11.400 km2, le Qatar est le plus petit pays du monde à se porter candidat pour organiser le Mondial dans l'histoire de la Fifa, qui semble s'inquiéter de cette configuration inédite. Si elle est une bonne nouvelle pour les spectateurs, la proximité des stades, tous prévus dans un rayon de 50 km, poserait aussi un problème de logistique et d'organisation.
Les températures
La chaleur est un facteur négatif, avec des températures de 45 degrés Celsius en juin et juillet, mois durant lesquels est organisé le Mondial. Pour y remédier, le comité d'organisation met en avant son expérience en matière de climatisation des stades, proposant des stades climatisés de deuxième génération, fonctionnant à l'énergie solaire.
Bouqantar et Zahi remportent la course de de Bouskoura
