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Ligue des champions: Le Real Madrid tombe à Lille et le Bayern Munich à Aston Villa
Malgré un doublé du revenant Lionel Messi, le leader Barcelone a laissé échapper dimanche face au Betis (4-3) deux ans d'invincibilité à domicile en Championnat d'Espagne. Et revoilà dans son sillage le Real Madrid, vainqueur 4-2 à Vigo pour conforter l'entraîneur intérimaire Santiago Solari.
Cela faisait 42 matches, soit depuis septembre 2016, que le Barça ne perdait plus en Liga au Camp Nou. Mais la série a pris fin face à la maîtrise et l'opportunisme du Betis Séville lors de cette 12e journée, même si Messi a inscrit deux buts pour son retour de blessure (68e sur penalty, 90e+2).
Ce revers est une bonne nouvelle pour le Real Madrid qui revient dans la course au titre après sa victoire à Vigo, où les blessures se sont accumulées (Casemiro, Reguilon, Nacho) et où Karim Benzema, étincelant buteur (23e) puis impliqué sur le deuxième but (56e), a impressionné.
Au classement, le FC Barcelone (1er, 24 pts) conserve la première place mais laisse un trio de poursuivants se rapprocher à seulement un point et le Real (6e, 20 pts) revenir à quatre longueurs.
Le leader blaugrana est talonné par le Séville FC (2e, 23 pts), qui a battu 2-1 l'Espanyol (5e, 21 pts) grâce à un but décisif du Français Wissam Ben Yedder, et par l'Atlético Madrid (3e, 23 pts) et Alavés (4e, 23 pts).
"C'est bien de rester en tête, je ne vais pas le nier, a tenté de positiver l'entraîneur barcelonais Ernesto Valverde. C'est une Liga très serrée et cette défaite doit nous servir pour nous rendre compte que gagner n'est jamais facile".
C'est d'ailleurs la Liga la plus serrée à ce stade depuis 1993... Et cet improbable revers du Barça à la maison intervient alors que les Catalans récupéraient ce week-end leur capitaine Messi, indisponible pendant trois semaines (bras fracturé).
Mais après avoir écrasé sans lui le Real 5-1 dans le clasico fin octobre, les Barcelonais ont fini par trébucher avec eux. Cela promet un choc au sommet après la trêve internationale entre l'Atlético et le Barça le 24 novembre.
Dimanche, Valverde a pu regretter les problèmes d'indiscipline d'Ousmane Dembélé, écarté du groupe pour un match où sa vitesse et ses dribbles ont grandement manqué.
Messi sur penalty (68e) et Arturo Vidal (79e) ont entretenu l'espoir mais Giovani Lo Celso (72e) et Sergio Canales (83e) ont à chaque fois douché le Camp Nou. Rakitic, exclu, avait entretemps laissé ses partenaires à dix (82e).
A Vigo, le défenseur du Celta Gustavo Cabral a également vu rouge (86e). Mais le Real aurait aussi pu finir en infériorité numérique tant les blessures se sont multipliées: sorties précoces de Casemiro (18e), Sergio Reguilon (45e) et Nacho (70e). Gareth Bale a également semblé touché.
Heureusement, la "Maison blanche" a pu s'appuyer sur la forme éclatante de Benzema, à nouveau buteur: contrôle délicieux dans la surface et frappe en pivot imparable (23e).
Le Français, qui a aussi trouvé la transversale (50e), a déjà marqué autant cette saison en Liga (5 buts) que sur l'ensemble des 38 journées de l'an dernier. Et son tir puissant a été dévié par le gardien sur son poteau puis malencontreusement poussé au fond par Cabral contre son camp (56e).
Malgré tout, le Real a tremblé et encaissé deux buts signés Hugo Mallo (61e) et Brais Mendez (90e+4) et n'a respiré qu'après un penalty transformé par Sergio Ramos d'une panenka (83e) et un missile de Dani Ceballos (90e+1).
Mais cette victoire conforte l'entraîneur Santiago Solari: avec quatre succès en autant de matches, il est bien parti pour être conforté dans ses fonctions au terme légal de son intérim ce lundi.
"Nous sommes heureux. Je crois que c'est une bonne réponse à cette question", a déclaré Emilio Butragueño, directeur des relations institutionnelles du Real, laissant entendre que l'Argentin devrait voir son bail prolongé durablement.
Cela faisait 42 matches, soit depuis septembre 2016, que le Barça ne perdait plus en Liga au Camp Nou. Mais la série a pris fin face à la maîtrise et l'opportunisme du Betis Séville lors de cette 12e journée, même si Messi a inscrit deux buts pour son retour de blessure (68e sur penalty, 90e+2).
Ce revers est une bonne nouvelle pour le Real Madrid qui revient dans la course au titre après sa victoire à Vigo, où les blessures se sont accumulées (Casemiro, Reguilon, Nacho) et où Karim Benzema, étincelant buteur (23e) puis impliqué sur le deuxième but (56e), a impressionné.
Au classement, le FC Barcelone (1er, 24 pts) conserve la première place mais laisse un trio de poursuivants se rapprocher à seulement un point et le Real (6e, 20 pts) revenir à quatre longueurs.
Le leader blaugrana est talonné par le Séville FC (2e, 23 pts), qui a battu 2-1 l'Espanyol (5e, 21 pts) grâce à un but décisif du Français Wissam Ben Yedder, et par l'Atlético Madrid (3e, 23 pts) et Alavés (4e, 23 pts).
"C'est bien de rester en tête, je ne vais pas le nier, a tenté de positiver l'entraîneur barcelonais Ernesto Valverde. C'est une Liga très serrée et cette défaite doit nous servir pour nous rendre compte que gagner n'est jamais facile".
C'est d'ailleurs la Liga la plus serrée à ce stade depuis 1993... Et cet improbable revers du Barça à la maison intervient alors que les Catalans récupéraient ce week-end leur capitaine Messi, indisponible pendant trois semaines (bras fracturé).
Mais après avoir écrasé sans lui le Real 5-1 dans le clasico fin octobre, les Barcelonais ont fini par trébucher avec eux. Cela promet un choc au sommet après la trêve internationale entre l'Atlético et le Barça le 24 novembre.
Dimanche, Valverde a pu regretter les problèmes d'indiscipline d'Ousmane Dembélé, écarté du groupe pour un match où sa vitesse et ses dribbles ont grandement manqué.
Messi sur penalty (68e) et Arturo Vidal (79e) ont entretenu l'espoir mais Giovani Lo Celso (72e) et Sergio Canales (83e) ont à chaque fois douché le Camp Nou. Rakitic, exclu, avait entretemps laissé ses partenaires à dix (82e).
A Vigo, le défenseur du Celta Gustavo Cabral a également vu rouge (86e). Mais le Real aurait aussi pu finir en infériorité numérique tant les blessures se sont multipliées: sorties précoces de Casemiro (18e), Sergio Reguilon (45e) et Nacho (70e). Gareth Bale a également semblé touché.
Heureusement, la "Maison blanche" a pu s'appuyer sur la forme éclatante de Benzema, à nouveau buteur: contrôle délicieux dans la surface et frappe en pivot imparable (23e).
Le Français, qui a aussi trouvé la transversale (50e), a déjà marqué autant cette saison en Liga (5 buts) que sur l'ensemble des 38 journées de l'an dernier. Et son tir puissant a été dévié par le gardien sur son poteau puis malencontreusement poussé au fond par Cabral contre son camp (56e).
Malgré tout, le Real a tremblé et encaissé deux buts signés Hugo Mallo (61e) et Brais Mendez (90e+4) et n'a respiré qu'après un penalty transformé par Sergio Ramos d'une panenka (83e) et un missile de Dani Ceballos (90e+1).
Mais cette victoire conforte l'entraîneur Santiago Solari: avec quatre succès en autant de matches, il est bien parti pour être conforté dans ses fonctions au terme légal de son intérim ce lundi.
"Nous sommes heureux. Je crois que c'est une bonne réponse à cette question", a déclaré Emilio Butragueño, directeur des relations institutionnelles du Real, laissant entendre que l'Argentin devrait voir son bail prolongé durablement.
La Juventus intouchable pour l'AC Milan
Nettement supérieure, la Juventus Turin est allée s'imposer 2-0 dimanche à San Siro face à l'AC Milan, dont l'attaquant Higuain a raté un penalty et a été expulsé, confirmant son statut d'intouchable leader du championnat d'Italie à l'issue de la 12e journée.
Le match a été scellé par Cristiano Ronaldo, qui a inscrit le but du 2-0 à la 82e minute, d'une frappe violente au milieu de la surface.
Le but du quintuple Ballon d'Or, son 8e déjà cette saison en Serie A, doit tout de même beaucoup à son compatriote Joao Cancelo, auteur sur le coup d'un beau débordement à droite et d'un tir repoussé par Donnarumma.
Le match a été scellé par Cristiano Ronaldo, qui a inscrit le but du 2-0 à la 82e minute, d'une frappe violente au milieu de la surface.
Le but du quintuple Ballon d'Or, son 8e déjà cette saison en Serie A, doit tout de même beaucoup à son compatriote Joao Cancelo, auteur sur le coup d'un beau débordement à droite et d'un tir repoussé par Donnarumma.