Autres articles
-
Célébration de la Journée internationale des monuments et des sites
-
La SNRT forme des étudiants de l’ISADAC aux métiers de la réalisation et la scénographie
-
Mohamed Mbarki : Le 4ème Salon maghrébin du livre d'Oujda propose une programmation innovante
-
"Lettres du Maghreb”: Conférence autour de la réalité du roman arabe
-
Colloque inaugural à Rabat de la 8ème Semaine de la langue espagnole au Maroc
Les planches du Théâtre "RIO" à Tunis ont accueilli, mardi dernier, la troupe Akoun pour la culture et les arts de Rabat pour présenter sa pièce "Solo" dans le cadre de la 19ème édition des Journées théâtrales de Carthage (JTC), organisées du 8 au 16 décembre. La pièce théâtrale "Solo", écrite par Mohamed El Hor et Hajar El Hamidi, a été très bien accueillie par un public nombreux, venu découvrir le théâtre marocain. La présentation a su accaparer l'attention du public tunisien et des invités de ces journées de différentes nationalités, non seulement par le jeu des comédiens, mais surtout par le thème abordé.
Il s’agit d’un thème qui relate un témoignage émouvant de Zahra Ahmed qui raconte l'histoire de son émancipation d'un passé douloureux, où elle était obligée de vivre comme un homme, à travers un voyage empreint de spiritualité et de piété. "Solo", qui avait raflé le Grand prix de la 19ème édition du Festival national du théâtre organisé début décembre à Tétouan sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, fait partie des 11 œuvres théâtrales représentant le monde arabe et l'Afrique et qui sont retenues pour prendre part à la compétition officielle de cette édition. Il est à rappeler que le comité d'organisation des JTC attribuera, pour cette compétition, 5 prix concernant "Meilleure œuvre complète", "Meilleure mise en scène", "Meilleur scénario", "Meilleur acteur" et "Meilleure actrice".
Pas moins de 100 pièces de théâtre, dont 56 représentations tunisiennes, cinq africaines et 14 arabes, seront présentées dans le cadre de ces Journées théâtrales de Carthage. Au menu de ces journées figurent plusieurs formations sur "L'art du comédien", "Construction des décors et des accessoires" et "Le langage du corps", ainsi que des débats portant notamment sur "La place de la critique théâtrale aujourd'hui et demain", "L'industrie théâtrale" et "Les droits d'auteurs".
En marge de ces Journées théâtrales de Carthage, un hommage a été rendu mardi à quatre icônes du quatrième art dans le monde arabe et en Afrique, à savoir l’Egyptien Mohamed Sobhy, la Kenyane Mumbi Kaigwa et les Tunisiens Ahmed Maaouia et Anissa Lotfi.
Il s’agit d’un thème qui relate un témoignage émouvant de Zahra Ahmed qui raconte l'histoire de son émancipation d'un passé douloureux, où elle était obligée de vivre comme un homme, à travers un voyage empreint de spiritualité et de piété. "Solo", qui avait raflé le Grand prix de la 19ème édition du Festival national du théâtre organisé début décembre à Tétouan sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, fait partie des 11 œuvres théâtrales représentant le monde arabe et l'Afrique et qui sont retenues pour prendre part à la compétition officielle de cette édition. Il est à rappeler que le comité d'organisation des JTC attribuera, pour cette compétition, 5 prix concernant "Meilleure œuvre complète", "Meilleure mise en scène", "Meilleur scénario", "Meilleur acteur" et "Meilleure actrice".
Pas moins de 100 pièces de théâtre, dont 56 représentations tunisiennes, cinq africaines et 14 arabes, seront présentées dans le cadre de ces Journées théâtrales de Carthage. Au menu de ces journées figurent plusieurs formations sur "L'art du comédien", "Construction des décors et des accessoires" et "Le langage du corps", ainsi que des débats portant notamment sur "La place de la critique théâtrale aujourd'hui et demain", "L'industrie théâtrale" et "Les droits d'auteurs".
En marge de ces Journées théâtrales de Carthage, un hommage a été rendu mardi à quatre icônes du quatrième art dans le monde arabe et en Afrique, à savoir l’Egyptien Mohamed Sobhy, la Kenyane Mumbi Kaigwa et les Tunisiens Ahmed Maaouia et Anissa Lotfi.