Lancée vendredi 19 juillet, simultanément à Agadir, El Jadida et Meknès, la deuxième édition du rendez-vous culturel «Les Nuits du Ramadan» s’achève ce week-end dans la capitale ismaélite.
La magnifique cité des murailles accueille ce dimanche 28 les deux dernières soirées de cette manifestation, organisée dans le cadre de la Saison culturelle France-Maroc. Ultimes soirées que les ensembles Egyptian Project et Ahltwat dar Dmana animeront à partir de 22h, au Jardin El Haboul (situé en plein cœur de Meknès). A la joie des habitants de cette cité qui pourront apprécier des sonorités métissées venant d’Egypte, du Maroc et du monde.
Fruit d’une collaboration entre des tenants de la tradition égyptienne et Jérôme Ettinger, jeune musicien français sans frontière et directeur artistique du projet, Egyptian Project offre une musique très métissée mêlant diverses sonorités.
Le public appréciera un ensemble ouvert sur le monde qui se distingue par des sonorités d’une grande richesse, inspirée de la musique traditionnelle du Caire ou du Delta du Nil et mélangée au trip-hop, à l’électro et au hip-hop ou encore aux sonorités de musique classique.
Il fat dire que « Jérôme Ettinger a multiplié pendant dix ans les expériences musicales en France et en Égypte, les résidences et les rencontres, tout en organisant des actions pédagogiques autour des instruments traditionnels égyptiens (rababa, percussions, violon, chant et kawala) et des musiques assistées par ordinateur ».
Un travail de recherche qui a grandement contribué à construire un répertoire diversifié.
Bien que moderne et ouvert à toutes les cultures, le groupe n’a pas pour autant travesti les musiques traditionnelles qu’il intègre dans son répertoire. Il est resté «à la fois respectueux des sonorités ancestrales, et particulier du fait des arrangements électro et de la présence d’une batterie», rassurent les organisateurs.
Il est à rappeler que cette formation était attendue la veille, samedi 27, à Dar Batha à la capitale spirituelle. Le groupe franco-égyptien devait y donner un concert aux côtés de l’artiste à la voix douce, troublante et mélancolique, Choukri Diwan et la troupe des Jilaliates de Fès.
Egalement attendue ce dimanche, Ahltwat dar Dmana. La formation meknassi propose une musique «liée aux immigrants de la région de Touat (Sud-ouest de l’Algérie) qui se sont installés à Ouazzane», expliquent les organisateurs. Le public appréciera un groupe dont le répertoire «repose sur un chant soufi et s’inspire de la mémoire collective et de la tradition liée aux cérémonies familiales».
Organisée par l’Institut français du Maroc (IFM), la deuxième édition des «Nuits du Ramadan» proposaient plusieurs animations en soirée hautes en couleur, avec au programme une cinquantaine de concerts étalés dans une douzaine de villes marocaines: Agadir, Casablanca, El Jadida, Essaouira, Fès, Kénitra, Marrakech, Meknès, Rabat, Safi, Tanger et Tétouan.
La magnifique cité des murailles accueille ce dimanche 28 les deux dernières soirées de cette manifestation, organisée dans le cadre de la Saison culturelle France-Maroc. Ultimes soirées que les ensembles Egyptian Project et Ahltwat dar Dmana animeront à partir de 22h, au Jardin El Haboul (situé en plein cœur de Meknès). A la joie des habitants de cette cité qui pourront apprécier des sonorités métissées venant d’Egypte, du Maroc et du monde.
Fruit d’une collaboration entre des tenants de la tradition égyptienne et Jérôme Ettinger, jeune musicien français sans frontière et directeur artistique du projet, Egyptian Project offre une musique très métissée mêlant diverses sonorités.
Le public appréciera un ensemble ouvert sur le monde qui se distingue par des sonorités d’une grande richesse, inspirée de la musique traditionnelle du Caire ou du Delta du Nil et mélangée au trip-hop, à l’électro et au hip-hop ou encore aux sonorités de musique classique.
Il fat dire que « Jérôme Ettinger a multiplié pendant dix ans les expériences musicales en France et en Égypte, les résidences et les rencontres, tout en organisant des actions pédagogiques autour des instruments traditionnels égyptiens (rababa, percussions, violon, chant et kawala) et des musiques assistées par ordinateur ».
Un travail de recherche qui a grandement contribué à construire un répertoire diversifié.
Bien que moderne et ouvert à toutes les cultures, le groupe n’a pas pour autant travesti les musiques traditionnelles qu’il intègre dans son répertoire. Il est resté «à la fois respectueux des sonorités ancestrales, et particulier du fait des arrangements électro et de la présence d’une batterie», rassurent les organisateurs.
Il est à rappeler que cette formation était attendue la veille, samedi 27, à Dar Batha à la capitale spirituelle. Le groupe franco-égyptien devait y donner un concert aux côtés de l’artiste à la voix douce, troublante et mélancolique, Choukri Diwan et la troupe des Jilaliates de Fès.
Egalement attendue ce dimanche, Ahltwat dar Dmana. La formation meknassi propose une musique «liée aux immigrants de la région de Touat (Sud-ouest de l’Algérie) qui se sont installés à Ouazzane», expliquent les organisateurs. Le public appréciera un groupe dont le répertoire «repose sur un chant soufi et s’inspire de la mémoire collective et de la tradition liée aux cérémonies familiales».
Organisée par l’Institut français du Maroc (IFM), la deuxième édition des «Nuits du Ramadan» proposaient plusieurs animations en soirée hautes en couleur, avec au programme une cinquantaine de concerts étalés dans une douzaine de villes marocaines: Agadir, Casablanca, El Jadida, Essaouira, Fès, Kénitra, Marrakech, Meknès, Rabat, Safi, Tanger et Tétouan.
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