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L'indice CAC 40 a progressé de 63,86 points pour terminer à 5.300,79 points, dans un volume d'échanges de 3,73 milliards d'euros. La veille, il avait terminé sur la défensive (-0,27%).
Au cours de la semaine écoulée, l'indice a perdu 0,51%. Mais il continue d'afficher une hausse de 12,05% depuis le 1er janvier.
Le marché parisien a rebondi dès l'ouverture et s'est maintenu dans le vert jusqu'à la clôture.
La séance a été marquée par l'arrivée à échéance des contrats à terme indiciels, (tous les 3e vendredis du mois), créant de gros volumes d'opérations, rapporte l’AFP.
Le fait que Donald Trump a assuré que la session de pourparlers avec les négociateurs chinois à Washington était "toujours prévue" début septembre "a contribué à rassurer certains gérants", indique à l'AFP Thierry Claudé, gérant chez Kiplink Finances. "Car il y a eu encore de gros doutes à ce sujet cette semaine", les investisseurs ayant "tellement peur que les négociations soient stoppées", rappelle-t-il.
En outre, le principal conseiller du président Donald Trump sur le commerce, Peter Navarro, a affirmé vendredi que les négociations commerciales avec la Chine "allaient de l'avant" mais qu'il fallait que la Fed baisse ses taux d'un demi-point de pourcentage d'ici la fin de l'année.
Néanmoins, d'autres problèmes bouillonnent encore en toile de fond: "La situation à Hong Kong commence à créer de la fébrilité sur les marchés", déjà très anxieux face au ralentissement de l'économie allemande, à la crise politique italienne et au Brexit, souligne Thierry Claudé.
L'ex-colonie britannique vit depuis début juin sa pire crise politique depuis sa rétrocession à la Chine en 1997, avec des manifestations quasi quotidiennes.
Le mouvement pro-démocratie hongkongais a donné lieu ces derniers jours à des manifestations monstres pacifiques mais aussi à des rassemblements qui ont dégénéré en affrontements de plus en plus violents entre radicaux et forces de l'ordre.