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Un communiqué de l’institution financière basée à Washington indique que cette stratégie définira les priorités de développement et les domaines sur lesquels la Banque mondiale concentrera son appui, qu’il soit financier, technique ou analytique. «Des consultations élargies seront menées avec des acteurs publics, la société civile, le secteur privé, les bailleurs de fonds et autres parties prenantes», est-il indiqué.
Ce partenariat vise à «assurer au gouvernement du Maroc l’appui de la BM dans sa poursuite de la construction d’une société plus ouverte à travers une promotion de davantage d’opportunités économiques et sociales pour tous les Marocains».
La préparation du nouveau CPS a pour principale mission de «redéfinir les priorités de développement du pays au vu du nouveau contexte politique et économique tout en se conformant à la nouvelle stratégie de la Banque mondiale dans la région MENA».
Tout en continuant à offrir son appui financier et technique, la Banque mondiale tentera aussi de diversifier et de rééquilibrer la composition de son portefeuille pour ce prochain mandat.
La réalisation du CPS suppose la mise en œuvre d’un processus participatif impliquant acteurs gouvernementaux, société civile, et tout autre partenaire de développement, tels que le secteur privé et la communauté des bailleurs, pour aider à définir les priorités sur lesquels la coopération entre la Banque et le Maroc devra se concentrer sur la période d’application du CPS.
Dans ce cadre, des consultations élargies seront menées avec des acteurs publics, la société civile, le secteur privé, les bailleurs de fonds et autres parties prenantes dans le domaine du développement, pour discuter et aider à définir les domaines de cet appui, précise la même source.
Les résultats de ces consultations permettront en dernier lieu d’alimenter le document final du CPS, en coordination avec la contrepartie gouvernementale marocaine, avant d’être présenté au Conseil d’administration de la Banque mondiale en février 2014.