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Les sociétés financières et non financières y ont contribué à hauteur de 60,3%, les ménages et les ISBLSM (Institutions sans but lucratif au service des ménages) à 26,8% et les administrations publiques à 12,9%, précise le HCP dans une note d'information relative à ces comptes.
De son côté, la formation brute du capital fixe (FBCF) s'est établie à 422,5 MMDH en 2024, en progression de 13,9% par rapport à 2023, grâce à une forte reprise des investissements des sociétés de 19,9% et d'une augmentation de la FBCF du secteur des ménages et ISBLSM de 7,9% et des administrations publiques de 3,2%.
Les sociétés financières et non financières ont contribué à hauteur de 59,2% à la FBCF nationale en 2024. De leur côté, les ménages et les ISBLSM ont contribué à hauteur de 26,1%, celle des administrations publiques s'est située à 14,7%, rapporte la MAP.
Globalement, le besoin de financement de la nation a été de 18,5 MMDH en 2024 et a représenté 1,2% du PIB au lieu de 0,9% une année auparavant. Cette détérioration résulte principalement du passage du secteur des sociétés non financières d’une capacité de financement de 11,9 MMDH à un besoin de financement d’environ 8,2 MMDH.
Les sociétés financières ont connu, quant à elles, un creusement de leur besoin de financement qui a atteint 9,1 MMDH en 2024.
De son côté, le secteur des administrations publiques a connu un allègement de son besoin de financement de 12,2 MMDH en 2024. Aussi, les ménages (y compris ISBLSM) ont vu leur capacité de financement s’améliorer de 10,9 MMDH.
Pour couvrir leurs besoins de financement, les administrations publiques ont toujours eu recours à l’endettement intérieur et extérieur, fait savoir le HCP.
En effet, les émissions du Trésor dans le marché intérieur ont marqué une hausse importante, affichant ainsi un flux net de 48,8 MMDH en 2024. Pour sa part, l’endettement extérieur de ce secteur a enregistré un flux net de 19 MMDH.
A ce niveau, le flux net des titres de créances négociables émis à l’international a affiché une valeur négative de 9,4 MMDH en 2024.
Pour ce qui est des sociétés non financières (SNF), elles ont accusé une baisse remarquable des crédits bancaires. Ainsi, le flux net des crédits accordés aux SNF s’est élevé à 12,9 MMDH en 2024, représentant 15,1% de leurs engagements.
L’endettement des ménages (y compris les entrepreneurs individuels) auprès des banques a affiché une légère augmentation. A ce propos, le flux net des crédits a atteint 13 MMDH en 2024. Cependant, le flux des dépôts a augmenté de 86,8 MMDH.
En outre, les sociétés financières (SF) ont enregistré une régression importante des crédits à 41,9 MMDH, contre une forte amélioration des dépôts à 152,3 MMDH.









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