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Un avocat viennois va devoir répondre du vol de 20 kg d'or, d'une valeur de quelque 700.000 euros, dérobés à une septuagénaire avec laquelle il s'était lié d'amitié autour d'une passion commune pour l'opéra, selon l'acte d'accusation révélé lundi.
Ayant appris l'existence de cet or, que la dame conservait chez elle, l'avocat de 42 ans s'en ouvre à un repris de justice roumain dont il avait été le défenseur. Les deux hommes décident de dérober les lingots.
A l'automne, selon un plan minutieusement échafaudé, l'avocat invite la septuagénaire à dîner, puis l'incite à demeurer chez lui pour la nuit, après avoir préalablement fourni des photos de l'appartement et de son système d'alarme à son complice.
En compagnie d'un acolyte, ce dernier profite de l'absence de la septuagénaire pour pénétrer dans l'appartement et le fouiller méthodiquement, allant jusqu'à percer des trous dans les murs, mais en vain : l'or reste alors introuvable.
Sans se démonter, l'avocat convainc son "amie" de ne pas porter plainte, et la pousse à lui confier où l'or est dissimulé : dans le compartiment secret d'une armoire.
Dès ce renseignement en sa possession, l'avocat invite à nouveau la septuagénaire chez lui. Cette fois-ci, le voleur trouve facilement l'or. Et disparait avec le butin sans le partager avec l'avocat...
En détention provisoire depuis cinq mois, l'avocat, qui a demandé à être radié du barreau, a reconnu les faits, mais affirme avoir agi sous la contrainte de son complice roumain. Il a assuré qu'il rembourserait le préjudice. "Il possède deux appartements qui vont être vendus au plus vite", a assuré à l'agence APA son défenseur, Me Werner Tomanek.
Ayant appris l'existence de cet or, que la dame conservait chez elle, l'avocat de 42 ans s'en ouvre à un repris de justice roumain dont il avait été le défenseur. Les deux hommes décident de dérober les lingots.
A l'automne, selon un plan minutieusement échafaudé, l'avocat invite la septuagénaire à dîner, puis l'incite à demeurer chez lui pour la nuit, après avoir préalablement fourni des photos de l'appartement et de son système d'alarme à son complice.
En compagnie d'un acolyte, ce dernier profite de l'absence de la septuagénaire pour pénétrer dans l'appartement et le fouiller méthodiquement, allant jusqu'à percer des trous dans les murs, mais en vain : l'or reste alors introuvable.
Sans se démonter, l'avocat convainc son "amie" de ne pas porter plainte, et la pousse à lui confier où l'or est dissimulé : dans le compartiment secret d'une armoire.
Dès ce renseignement en sa possession, l'avocat invite à nouveau la septuagénaire chez lui. Cette fois-ci, le voleur trouve facilement l'or. Et disparait avec le butin sans le partager avec l'avocat...
En détention provisoire depuis cinq mois, l'avocat, qui a demandé à être radié du barreau, a reconnu les faits, mais affirme avoir agi sous la contrainte de son complice roumain. Il a assuré qu'il rembourserait le préjudice. "Il possède deux appartements qui vont être vendus au plus vite", a assuré à l'agence APA son défenseur, Me Werner Tomanek.