Autres articles
-
La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
-
Quelle est la durée de vie d'une puce IA, la question à plusieurs centaines de milliards
-
Entre 121 et 142 millions de personnes travaillent dans l'économie circulaire à l’échelle mondiale
-
Une influente étude sur le glyphosate retirée après des années d'alertes sur l'implication de Monsanto
-
A trois ans, un Indien devient le plus jeune joueur d'échecs classé
La police roumaine a fait son mea culpa vendredi après avoir confisqué le permis de conduire d'un automobiliste immatriculé en Suède et dont les plaques personnalisées insultaient le Parti social-démocrate (PSD) au pouvoir à Bucarest, reconnaissant qu'aucune infraction ne pouvait être retenue.
L'intéressé, un Roumain expatrié en Suède, avait été interpellé lundi au volant d'une voiture dont les plaques portaient un message insultant le PSD.
La police roumaine avait dans un premier temps invoqué un règlement selon lequel "les immatriculations doivent être composées de chiffres ou bien de chiffres et de lettres". Mais elle s'est bien vite retrouvée sous le feu des critiques, cette obligation ayant été abolie il y a deux ans.
"Nous avons demandé à ce que le dossier soit classé", a indiqué vendredi à l'AFP Georgian Dragan, le porte-parole de la police. Une enquête a par ailleurs été ouverte envers les policiers qui ont interprété de façon "erronée" le règlement. L'automobiliste a pu récupérer son permis mais ses plaques, qui lui avaient également été confisquées, ont toutefois été remises aux autorités suédoises, a-t-il été précisé.
L'ambassade de Suède à Bucarest était intervenue pour souligner que les plaques d'immatriculation émises par la Suède étaient légales dans toute l'Union européenne, mais que la décision d'accepter sur son territoire les véhicules les exhibant était du seul ressort de la Roumanie.
L'intéressé, un Roumain expatrié en Suède, avait été interpellé lundi au volant d'une voiture dont les plaques portaient un message insultant le PSD.
La police roumaine avait dans un premier temps invoqué un règlement selon lequel "les immatriculations doivent être composées de chiffres ou bien de chiffres et de lettres". Mais elle s'est bien vite retrouvée sous le feu des critiques, cette obligation ayant été abolie il y a deux ans.
"Nous avons demandé à ce que le dossier soit classé", a indiqué vendredi à l'AFP Georgian Dragan, le porte-parole de la police. Une enquête a par ailleurs été ouverte envers les policiers qui ont interprété de façon "erronée" le règlement. L'automobiliste a pu récupérer son permis mais ses plaques, qui lui avaient également été confisquées, ont toutefois été remises aux autorités suédoises, a-t-il été précisé.
L'ambassade de Suède à Bucarest était intervenue pour souligner que les plaques d'immatriculation émises par la Suède étaient légales dans toute l'Union européenne, mais que la décision d'accepter sur son territoire les véhicules les exhibant était du seul ressort de la Roumanie.










La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
