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Jeff Jones est même parfois obligé de jurer à ses interlocuteurs qu’il n’est pas le vrai Bernie Sanders
Pour éviter toute confusion, alors que les primaires démocrates faisaient rage en 2016, sa fille lui avait fait un sweat-shirt blanc frappé en lettres bleues et rouges de l’inscription “Je ne suis pas Bernie”. Jeff Jones, que l’AFP a rencontré récemment lors d’un meeting de campagne du sénateur Sanders à Santa Ana (70 km au nord de Los Angeles), ne se plaint pas de cette ressemblance.
“Je suis un fan de Bernie. J’aime la direction dans laquelle il veut faire bouger les choses”, affirme-t-il.
“Il est très bon, il a toujours la même motivation”, sourit le septuagénaire en entendant la foule acclamer son candidat, qui a été hospitalisé l’an dernier après un accident cardiaque.