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Une marchande de glace de Séville, dans le sud de l'Espagne, a été condamnée à douze ans de réclusion pour avoir tué un homme avant de cacher son corps dans un congélateur, a-t-on appris lundi auprès du tribunal.
Dans une décision de justice datée du 29 mai, une cour de Séville condamne la marchande de glaces de 44 ans pour homicide.
Le 9 janvier 2016 au matin dans sa boutique, elle s'est disputée avec un homme de 62 ans, l'a "frappé fortement à la tête avec un objet contondant", puis "avec l'intention de le tuer, l'accusée s'est mise à genoux sur (sa) poitrine" et "l'a étranglé avec un câble ou un objet similaire", selon la décision de justice.
Dès le matin, des policiers alertés par la disparition de l'homme "ont réalisé une inspection sommaire de la boutique sans trouver le cadavre, que (l'accusée) avait caché dans un congélateur".
Mais la meurtrière s'est finalement rendue dans l'après-midi au commissariat pour avouer le crime.
Un témoin a assuré avoir vu la femme et sa victime "entrer ensemble dans la boutique" la veille au soir.
Le tribunal a rejeté la thèse de la légitime défense, assurant qu'il n'existait "pas l'ombre d'une preuve que la victime ait agressé physiquement ou sexuellement l'accusée" et qu'il n'était pas en mesure de se défendre au moment où elle l'a étranglé.
La marchande de glaces, qui devra verser 225.000 euros à la famille de la victime, peut faire appel.
Dans une décision de justice datée du 29 mai, une cour de Séville condamne la marchande de glaces de 44 ans pour homicide.
Le 9 janvier 2016 au matin dans sa boutique, elle s'est disputée avec un homme de 62 ans, l'a "frappé fortement à la tête avec un objet contondant", puis "avec l'intention de le tuer, l'accusée s'est mise à genoux sur (sa) poitrine" et "l'a étranglé avec un câble ou un objet similaire", selon la décision de justice.
Dès le matin, des policiers alertés par la disparition de l'homme "ont réalisé une inspection sommaire de la boutique sans trouver le cadavre, que (l'accusée) avait caché dans un congélateur".
Mais la meurtrière s'est finalement rendue dans l'après-midi au commissariat pour avouer le crime.
Un témoin a assuré avoir vu la femme et sa victime "entrer ensemble dans la boutique" la veille au soir.
Le tribunal a rejeté la thèse de la légitime défense, assurant qu'il n'existait "pas l'ombre d'une preuve que la victime ait agressé physiquement ou sexuellement l'accusée" et qu'il n'était pas en mesure de se défendre au moment où elle l'a étranglé.
La marchande de glaces, qui devra verser 225.000 euros à la famille de la victime, peut faire appel.









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