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Le romancier syrien Hanna Mina s’est vu remettre, mercredi à Damas, lors d’une cérémonie d’hommage, le “Prix Mohamed Zefzaf du roman arabe” décerné récemment par la Fondation du Forum d’Asilah.
La poétesse et conseillère culturelle de l’ambassade du Maroc à Damas, Ouafaa Lamrani, qui a remis le Prix “Mohamed Zefzaf du roman arabe” à l’écrivain Hanna Mina à Asilah et qui s’est chargée de le lui faire parvenir à Damas, a indiqué que cette récompense de mérite, qui porte le nom de l’écrivain marocain décédé Mohamed Zefzaf, est destinée à un “monument imposant de la littérature” et à un “chêne romanesque à vocation humaine” qu’est Hana Mina, et qui témoigne de la communication culturelle entre le Maghreb arabe et le Machreq.
Dans une allocution, l’écrivain honoré Hanna Mina, ému, a mis l’accent sur l’unité culturelle complémentaire présente du monde arabe et s’est dit convaincu de la présence de la littérature arabe partout dans le monde en dépit du blocus sioniste injuste.
“Nous sommes parvenus à briser ce joug en faisant parvenir dans le monde entier notre créativité, qui demeure réelle, immense et belle dont s’enorgueillissent le monde arabe, au Machreq et au Maghreb”, a affirmé le romancier syrien.
Et de renchérir : “Si le Maroc a décidé de m’honorer, c’est parce que j’ai atteint un niveau qui vaut celui des créateurs en Syrie et dans le monde arabe, et cela me touche énormément et je remercie les initiateurs de ce Prix, le Maroc frère”.
La Fondation du Forum d’Asilah a attribué dernièrement à Hanna Mina le “Prix Mohamed Zefzaf du roman arabe”, dans le cadre de la 32e édition du Festival culturel international d’Asilah, pour couronner l’ensemble de ses travaux qui ont marqué des décennies de la période romanesque de manière particulière et le paysage littéraire arabe de manière générale.
Auteur prolixe, dont l’œuvre est celle d’un romancier réaliste engagé attaché à décrire l’univers des ports syriens et de la mer, Mina a écrit plus d’une vingtaine d’ouvrages dont “Les lampes camouflées” (1954), “La voile et la tempête” (1966), “L’Ancre” (1975), “Histoire de marin” (1981 à 1983), “Du soleil à travers les nuages” (1978), “Images résiduelles” (1975), “L’étang” (1977).
Plusieurs de ses romans sont traduits en français notamment “Chams fi Yawm Al Ghaym” (Soleil en instance). En 2005, il a reçu le Prix des écrivains arabes pour l’ensemble de ses œuvres.
La poétesse et conseillère culturelle de l’ambassade du Maroc à Damas, Ouafaa Lamrani, qui a remis le Prix “Mohamed Zefzaf du roman arabe” à l’écrivain Hanna Mina à Asilah et qui s’est chargée de le lui faire parvenir à Damas, a indiqué que cette récompense de mérite, qui porte le nom de l’écrivain marocain décédé Mohamed Zefzaf, est destinée à un “monument imposant de la littérature” et à un “chêne romanesque à vocation humaine” qu’est Hana Mina, et qui témoigne de la communication culturelle entre le Maghreb arabe et le Machreq.
Dans une allocution, l’écrivain honoré Hanna Mina, ému, a mis l’accent sur l’unité culturelle complémentaire présente du monde arabe et s’est dit convaincu de la présence de la littérature arabe partout dans le monde en dépit du blocus sioniste injuste.
“Nous sommes parvenus à briser ce joug en faisant parvenir dans le monde entier notre créativité, qui demeure réelle, immense et belle dont s’enorgueillissent le monde arabe, au Machreq et au Maghreb”, a affirmé le romancier syrien.
Et de renchérir : “Si le Maroc a décidé de m’honorer, c’est parce que j’ai atteint un niveau qui vaut celui des créateurs en Syrie et dans le monde arabe, et cela me touche énormément et je remercie les initiateurs de ce Prix, le Maroc frère”.
La Fondation du Forum d’Asilah a attribué dernièrement à Hanna Mina le “Prix Mohamed Zefzaf du roman arabe”, dans le cadre de la 32e édition du Festival culturel international d’Asilah, pour couronner l’ensemble de ses travaux qui ont marqué des décennies de la période romanesque de manière particulière et le paysage littéraire arabe de manière générale.
Auteur prolixe, dont l’œuvre est celle d’un romancier réaliste engagé attaché à décrire l’univers des ports syriens et de la mer, Mina a écrit plus d’une vingtaine d’ouvrages dont “Les lampes camouflées” (1954), “La voile et la tempête” (1966), “L’Ancre” (1975), “Histoire de marin” (1981 à 1983), “Du soleil à travers les nuages” (1978), “Images résiduelles” (1975), “L’étang” (1977).
Plusieurs de ses romans sont traduits en français notamment “Chams fi Yawm Al Ghaym” (Soleil en instance). En 2005, il a reçu le Prix des écrivains arabes pour l’ensemble de ses œuvres.