

-
Mondiaux de Tokyo : Elimination en série des athlètes marocains
-
Tanger à l’heure du Championnat arabe de tir sportif
-
Azzedine Ounahi : Les Lions de l’Atlas sont plus solides que jamais
-
Botola Pro D1: Le KACM défait à domicile par la RSB
-
15.000 coureurs attendus lors de la prochaine édition des 10KM International by WeCasablanca
Mais, “le seul principe sur lequel nous allons rouvrir le discussion, c’est la technologie sur la ligne de but”, a précisé M. Blatter.
“Le football est un jeu de mouvement, et s’il y a une occasion de but, faut-il donner la possibilité à une équipe de réclamer des ralentis une ou deux fois comme au tennis? Pour une situation comme celle du Mexique, vous n’avez pas besoin de technologie”, a-t-il argumenté.
Dimanche, un but injustement refusé à l’Anglais Franck Lampard contre l’Allemagne et un but hors-jeu accordé à l’Argentine face au Mexique ont relancé le débat récurrent sur l’arbitrage vidéo, auquel s’opposent pour l’instant la Fifa et surtout l’International Board, l’organisme chargé de définir les lois du jeu.
L’arbitre uruguayen Jorge Larrionda n’a pas accordé le but à Lampard contre l’Allemagne, alors que les ralentis télévisés montraient clairement que le ballon avait franchi la ligne de but à la 38e minute du match. Ce but aurait permis à l’Angleterre, alors menée 2-1, de revenir à deux partout.
En soirée, l’arbitre italien Roberto Rosetti a accordé un but entaché d’un hors-jeu très net à l’Argentin Tevez, contre le Mexique. L’action a été rediffusée sur l’écran géant du stade, mais l’arbitre, conformément au règlement, n’a pas tenu compte des images pour revenir sur sa décision, malgré les protestations des joueurs Mexicains.
M. Blatter lui-même, après avoir envisagé en début d’année le recours possible à la “technologie” pour le franchissement de la ligne de but, s’était rangé à l’avis du Board, et avait longuement argumenté contre l’introduction de la vidéo dans l’arbitrage.