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Les festivaliers de la neuvième édition de Taragalte ont été gratifiés d’un menu artistique des plus beaux et d’un spectacle naturel des plus diversifiés. Un véritable ballet de musique, de vents, pluie, tempête et sables. La nature annonce aussi son festival. Une aubaine pour le «peuple» multiethnique de Taragalte qui représente cette année plus de trente nationalités !
Durant les trois jours du Festival international de Taragalte, sous les étoiles, qui a clos ses festivités, dimanche 28 octobre dernier, à Mhamid El Ghizlane, les visiteurs ont eu la chance de découvrir toutes les facettes du désert. Cela a pu bousculer tous les stéréotypes et les images préconçues d’une zone ensoleillée, souriante et sans difficulté aucune.
Si au premier jour, le grand flux a savouré la beauté et la magnificence d’un paysage doré, au deuxième jour, les visiteurs ont pu voir ce que peut faire la pluie dans un terroir désertique. Mais, la meilleure des découvertes est sans conteste celle de la troisième journée, lorsque la tempête a duré du matin au soir, avec tous les dommages subis.
Un spectacle désolant: La tente-restaurant effondrée, back-stages de la scène principale démantelés, souk local, installé à l’occasion dans le site du festival, dévasté et chauffeurs des véhicules aveuglés par le sable.
Seuls les locaux, dotés de leurs chèches osent affronter la situation, ayant une bonne connaissance du terrain. Les aventuriers parmi les visiteurs voient automatiquement leurs véhicules s’enliser dans le sable. Là, se manifestent les valeurs de solidarité et d’entre-aide chez les hommes du désert, puisqu’ils utilisent des techniques spéciales; leurs véhicules sont souvent munis de cordes ou de bandes à même de remorquer les machines enlisées dans le sable. Mais vous n’allez jamais vous sentir seuls dans ces situations. C’est un grand et magnifique exercice de vivre ainsi le désert sous toutes ses couleurs !
Durant les trois jours du Festival international de Taragalte, sous les étoiles, qui a clos ses festivités, dimanche 28 octobre dernier, à Mhamid El Ghizlane, les visiteurs ont eu la chance de découvrir toutes les facettes du désert. Cela a pu bousculer tous les stéréotypes et les images préconçues d’une zone ensoleillée, souriante et sans difficulté aucune.
Si au premier jour, le grand flux a savouré la beauté et la magnificence d’un paysage doré, au deuxième jour, les visiteurs ont pu voir ce que peut faire la pluie dans un terroir désertique. Mais, la meilleure des découvertes est sans conteste celle de la troisième journée, lorsque la tempête a duré du matin au soir, avec tous les dommages subis.
Un spectacle désolant: La tente-restaurant effondrée, back-stages de la scène principale démantelés, souk local, installé à l’occasion dans le site du festival, dévasté et chauffeurs des véhicules aveuglés par le sable.
Seuls les locaux, dotés de leurs chèches osent affronter la situation, ayant une bonne connaissance du terrain. Les aventuriers parmi les visiteurs voient automatiquement leurs véhicules s’enliser dans le sable. Là, se manifestent les valeurs de solidarité et d’entre-aide chez les hommes du désert, puisqu’ils utilisent des techniques spéciales; leurs véhicules sont souvent munis de cordes ou de bandes à même de remorquer les machines enlisées dans le sable. Mais vous n’allez jamais vous sentir seuls dans ces situations. C’est un grand et magnifique exercice de vivre ainsi le désert sous toutes ses couleurs !