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Sur son compte Twitter, Emma Watson s'adresse directement à ses abonnés : "Chers fans, les rumeurs sur le fait que je sois fiancée ou pas, ou si ma carrière est 'en sommeil ou non' sont des moyens de générer du clic à chaque fois, qu'elles soient vraies ou fausses", a-t-elle publié dans un premier message, avant d'enchaîner : "Si j'ai des nouvelles, je vous promets de les partager avec vous." La comédienne, dont on connaît les engagements militants par ailleurs, a poursuivi avec humour : "En attendant, dites-vous que sans nouvelles de ma part, cela signifie simplement que je traverse la pandémie de la même façon que la plupart des gens, en ratant mon pain au levain maison, en prenant soin de mes proches et en faisant de mon mieux pour ne pas propager ce virus qui affecte encore beaucoup de monde", a-t-elle écrit.
Emma Watson conclut cette prise de parole sur Twitter - où elle n'avait rien publié depuis août 2020, par une pensée pour ses fans : "Je vous envoie beaucoup d'amour, en espérant que vous allez bien et que vous êtes aussi heureux qu’il est possible de l'être en ces temps étranges. Et encore une fois, merci à tous ceux qui travaillent si dur pour nous garder en sécurité et en bonne santé." En février dernier, Jason Weinberg, le manager de la jeune femme était déjà monté au créneau, expliquant dans les colonnes d'Entertainment Weekly que "Les réseaux sociaux d’Emma Watson sont en sommeil, mais pas sa carrière". Espérons cette fois, que la mise au point de la principale intéressée soit plus efficace.
"J'ai dit non et je suis partie", poursuit-elle. "Ils m'ont dit qu'ils allaient brûler toute ma musique. Ils n'arrêtaient pas de me demander. Alors, je me suis débranchée et j'ai juste... Je ne me souviens même plus", dit-elle, en larmes. La chanteuse de 35 ans explique de nouveau qu'elle ne veut pas révéler l'identité de son agresseur, car elle ne veut "plus jamais avoir affaire à cette personne". Lady Gaga affirme que ce producteur l'a violée et séquestrée pendant "des mois" avant de l'abandonner à un carrefour, près de chez ses parents, enceinte. Elle ne précise pas quelle suite elle a donné à cette grossesse. Stefani Germanotta, de son vrai nom, explique avoir vécu, "des années plus tard", une crise d'angoisse qui l'a menée à l'hôpital, où elle a réalisé qu'elle était sujette à des troubles de stress post-traumatique liés à son agression. Ces troubles l'ont notamment amené à s'automutiler, dit-elle. Elle estime qu'il lui a fallu deux ans et demi de thérapie pour parvenir à contrôler ces pulsions. "J'ai appris tous les moyens de me sortir" d'une crise, explique la chanteuse.