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La Coupe de la Ligue anglaise a vu rouge mercredi avec la folle qualification de Liverpool aux dépens d'Arsenal (5-5, 5-4 aux t.a.b) et celle de Manchester United vainqueur à Chelsea (2-1), en huitièmes de finale.
Le premier huitième de la soirée aura rappelé à tous les fans des Gunners ce soir de 2012 où Arsenal avait remporté l'un des matches les plus fous de l'histoire du football anglais, 7 à 5 après avoir été mené 4-0 par Reading, le happy end en moins.
Le parallèle était d'autant plus tentant que la rencontre à Liverpool se jouait sept ans plus tard jour pour jour, au même quatrième tour de la Coupe de la Ligue et avec le même gardien, Emiliano Martinez, dans les cages.
Les deux entraîneurs avaient décidé de faire très largement tourner, Jürgen Klopp alignant 11 remplaçants contre 8 pour Emery. Mais si quelques maladresses sont à relever, les réservistes ont livré un beau spectacle.
Emery avait notamment sorti Mesut Özil du placard, ainsi que son compatriote de la défense, Shkodran Mustafi, mais aussi la perle brésilienne Gabriel Martinelli.
Si le stoppeur allemand a été le héros malheureux du début de match en ouvrant le score contre son camp dès la 6e minute, Özil a montré de belles choses pendant une heure et Martinelli a inscrit un doublé (26e, 36e).
Mais cela n'a pas suffi pour faire rendre gorge à des Reds au mental d'acier cette saison.
Revenus à 4-4 après avoir été menés 3-1 puis 4-2 en tout début de seconde période, ils ont égalisé au bout du temps additionnel à 5-5 pour finir par l'emporter aux tirs au but.
Il ne s'agit que de la deuxième fois que Liverpool encaisse cinq buts dans son antre d'Anfield lors des 66 dernières années.
Le seul précédent était une défaite 6-3 en janvier 2007 contre... Arsenal. En Coupe de la Ligue.
Un peu plus tard, ce sont d'autres "rouges", ceux de Manchester United, qui ont mis fin à la série de 7 victoires toutes compétitions confondues de Chelsea (2-1).
Ils peuvent remercier Marcus Rashford qui a réussi le premier penalty de Manchester de la saison, après 4 échecs de suite pour ouvrir le score, avant de donner la victoire d'un coup-franc digne de Juninho, de plus de 30 mètres et en pleine lucarne après une trajectoire flottante.
Semblant à la dérive avant la dernière trêve internationale, les Red Devils paraissent transfigurés depuis qu'ils ont tenu Liverpool en échec (1-1): ils restent sur trois victoires de rang depuis.
Dans le troisième match de la soirée, Aston Villa s'est défait de Wolverhampton 2 à 1.
Mardi soir, Manchester City, Leicester et Everton en Premier League, mais aussi Oxford United (D3) et Colchester (D4) avaient empoché leur billet pour les quarts dont le tirage au sort devait avoir lieu hier et qui se dérouleront les 17 et 18 décembre.
Le premier huitième de la soirée aura rappelé à tous les fans des Gunners ce soir de 2012 où Arsenal avait remporté l'un des matches les plus fous de l'histoire du football anglais, 7 à 5 après avoir été mené 4-0 par Reading, le happy end en moins.
Le parallèle était d'autant plus tentant que la rencontre à Liverpool se jouait sept ans plus tard jour pour jour, au même quatrième tour de la Coupe de la Ligue et avec le même gardien, Emiliano Martinez, dans les cages.
Les deux entraîneurs avaient décidé de faire très largement tourner, Jürgen Klopp alignant 11 remplaçants contre 8 pour Emery. Mais si quelques maladresses sont à relever, les réservistes ont livré un beau spectacle.
Emery avait notamment sorti Mesut Özil du placard, ainsi que son compatriote de la défense, Shkodran Mustafi, mais aussi la perle brésilienne Gabriel Martinelli.
Si le stoppeur allemand a été le héros malheureux du début de match en ouvrant le score contre son camp dès la 6e minute, Özil a montré de belles choses pendant une heure et Martinelli a inscrit un doublé (26e, 36e).
Mais cela n'a pas suffi pour faire rendre gorge à des Reds au mental d'acier cette saison.
Revenus à 4-4 après avoir été menés 3-1 puis 4-2 en tout début de seconde période, ils ont égalisé au bout du temps additionnel à 5-5 pour finir par l'emporter aux tirs au but.
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Le seul précédent était une défaite 6-3 en janvier 2007 contre... Arsenal. En Coupe de la Ligue.
Un peu plus tard, ce sont d'autres "rouges", ceux de Manchester United, qui ont mis fin à la série de 7 victoires toutes compétitions confondues de Chelsea (2-1).
Ils peuvent remercier Marcus Rashford qui a réussi le premier penalty de Manchester de la saison, après 4 échecs de suite pour ouvrir le score, avant de donner la victoire d'un coup-franc digne de Juninho, de plus de 30 mètres et en pleine lucarne après une trajectoire flottante.
Semblant à la dérive avant la dernière trêve internationale, les Red Devils paraissent transfigurés depuis qu'ils ont tenu Liverpool en échec (1-1): ils restent sur trois victoires de rang depuis.
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Eto'o : La politique ? Cela ne m'intéresse pas pour le moment
L'exemple de George Weah, ancien footballeur de renom devenu président du Liberia, peut-il inspirer le jeune retraité Samuel Eto'o ? "Tout le monde me souhaite une carrière en politique" mais "cela ne m'intéresse pas pour le moment", a confié l'ex-attaquant camerounais dans un entretien exclusif à l'AFP.
"Tout le monde me souhaite une carrière en politique. Mais nous n'allons pas avoir 10 millions de Weah. Chacun est né avec son étoile. Tous à un moment donné, nous faisons de la politique à notre niveau. Mais cela ne m'intéresse pas pour le moment", a confié Samuel Eto'o, quelques semaines après l'annonce de sa retraite sportive, à 38 ans.
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