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Assurément, la 11ème édition organisée
du 17 au 24 juin, a connu un franc succès.
C’est dire l’intérêt de cet événement dans une grande métropole comme Casablanca,
où le manque d’animation culturelle
et artistique se fait cruellement sentir.
Huit jours durant, les habitants de la métropole ont été invités à une série de spectacles artistiques et de manifestations culturelles et sportives. Parmi les moments forts de cette manifestation, il y avait bien évidemment la soirée musicale inaugurale, dédiée à la musique andalouse et gharnatie, avec la participation de Ayat Allah Chqara, Jamaldine Benhadou, Sofia Achabraoui et l’orchestre Mahd. Lors de cette soirée spéciale, de vibrants hommages ont été rendus à de véritables monuments de la scène artistique nationale. Et ce à l’initiative des organisateurs qui ont toujours été conscients de la nécessité de rendre de tels hommages à des artistes authentiques. De leur vivant, bien entendu, en reconnaissance de leur talent et de leur désintéressement.
Concernant l’activité culturelle, le public casablancais avait rendez-vous avec un Salon de calligraphie arabe qui a eu lieu à la Maison de la Culture, avec le soutien de l’Association Bassamat des Beaux-Arts et de quelques célébrités de l’art graphique. Côté théâtre, nombre d’acteurs connus ont foulé les planches du Complexe culturel de Sidi Belyout, pour le plus grand bonheur des amateurs du théâtre. Les jeunes ont, par ailleurs, pu participer à un concours de déclamation du Coran au sein du Complexe culturel.
Le sport n’était pas en reste, puisqu’un tournoi footballistique a été programmé en faveur des jeunes, en plus d’une compétition de la lutte. Parallèlement, mais dans un tout autre registre, une conférence sur la santé a été organisé au Centre de santé de Bousmara. La cérémonie de clôture a, quant à elle, eu lieu vendredi à Arssat Zerktouni avec au programme une soirée de Samaâ et Madih.
Notons que ce Festival constitue une valeur sûre et a bel et bien enregistré une bonne audience. Les organisateurs sont, par ailleurs, tout à fait conscients de l’intérêt de cet événement dans une grande métropole comme Casablanca, où le manque d’animation culturelle et artistique se fait cruellement sentir. Malgré le peu de moyens matériels dont dispose l’Arrondissement, les organisateurs relèvent le défi, en programmant chaque année deux Festivals de taille, à savoir «Le Printemps de Sidi Belyout» et «Ramadaniat Sidi Belyout».
Les initiateurs de l’évènement ont, par ailleurs, exhorté l’ensemble des fonctionnaires et des élus locaux à faire preuve d’acharnement et de ténacité pour que les citoyens puissent bénéficier d’une animation culturelle et artistique répondant à leurs attentes.
Rappelons enfin que le timing choisi pour ce festival n’a rien de fortuit, puisque la spiritualité qui empreint le mois sacré de Ramadan est tout à fait appropriée pour ce genre d’activité.
du 17 au 24 juin, a connu un franc succès.
C’est dire l’intérêt de cet événement dans une grande métropole comme Casablanca,
où le manque d’animation culturelle
et artistique se fait cruellement sentir.
Huit jours durant, les habitants de la métropole ont été invités à une série de spectacles artistiques et de manifestations culturelles et sportives. Parmi les moments forts de cette manifestation, il y avait bien évidemment la soirée musicale inaugurale, dédiée à la musique andalouse et gharnatie, avec la participation de Ayat Allah Chqara, Jamaldine Benhadou, Sofia Achabraoui et l’orchestre Mahd. Lors de cette soirée spéciale, de vibrants hommages ont été rendus à de véritables monuments de la scène artistique nationale. Et ce à l’initiative des organisateurs qui ont toujours été conscients de la nécessité de rendre de tels hommages à des artistes authentiques. De leur vivant, bien entendu, en reconnaissance de leur talent et de leur désintéressement.
Concernant l’activité culturelle, le public casablancais avait rendez-vous avec un Salon de calligraphie arabe qui a eu lieu à la Maison de la Culture, avec le soutien de l’Association Bassamat des Beaux-Arts et de quelques célébrités de l’art graphique. Côté théâtre, nombre d’acteurs connus ont foulé les planches du Complexe culturel de Sidi Belyout, pour le plus grand bonheur des amateurs du théâtre. Les jeunes ont, par ailleurs, pu participer à un concours de déclamation du Coran au sein du Complexe culturel.
Le sport n’était pas en reste, puisqu’un tournoi footballistique a été programmé en faveur des jeunes, en plus d’une compétition de la lutte. Parallèlement, mais dans un tout autre registre, une conférence sur la santé a été organisé au Centre de santé de Bousmara. La cérémonie de clôture a, quant à elle, eu lieu vendredi à Arssat Zerktouni avec au programme une soirée de Samaâ et Madih.
Notons que ce Festival constitue une valeur sûre et a bel et bien enregistré une bonne audience. Les organisateurs sont, par ailleurs, tout à fait conscients de l’intérêt de cet événement dans une grande métropole comme Casablanca, où le manque d’animation culturelle et artistique se fait cruellement sentir. Malgré le peu de moyens matériels dont dispose l’Arrondissement, les organisateurs relèvent le défi, en programmant chaque année deux Festivals de taille, à savoir «Le Printemps de Sidi Belyout» et «Ramadaniat Sidi Belyout».
Les initiateurs de l’évènement ont, par ailleurs, exhorté l’ensemble des fonctionnaires et des élus locaux à faire preuve d’acharnement et de ténacité pour que les citoyens puissent bénéficier d’une animation culturelle et artistique répondant à leurs attentes.
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