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A la question: "Quel genre de président serez-vous?", le réalisateur des "Dents de la mer" ou plus récemment de "Lincoln" a répondu : "Démocratique! Mais laissez-moi un peu de temps : je n'ai pas été dans un jury depuis le Festival d'Avoriaz en 1976".
Spielberg affirme ne pas préférer un type d'oeuvre, populaire ou exigeante. "Je crois qu'avant d'être montrés, tous les films sont égaux (...). A chaque fois, les intentions sont les mêmes, qu'il s'agisse de Christopher Nolan (qui a signé plusieurs Batman ou Inception, ndlr) ou de Michael Haneke" (réalisateur d'"Amour") : exprimer ce qu'il a en lui".
Le réalisateur souligne que le cinéma indépendant "ne s'est jamais aussi bien porté", même si les superproductions hollywoodiennes attirent le public en masse, car "les gens en ont assez qu'on leur raconte toujours les mêmes histoires".
Steven Spielberg explique aussi regarder "chaque week-end, entre quatre et six films. Je rattrape ce que j'ai manqué pendant la semaine de travail. Alors deux films par jour à Cannes, j'ai plutôt hâte".